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Nos écoliers sont exposés aux dangers de la route.



Les écoliers des établissements scolaires situés près des routes (école Lalla Méryème, Le collège et le lycée d’Ain Défali, l’école de la Gare, L’école de Bougdour, l’école du Douar Jdid, etc…) sont exposés aux dangers de la circulation.


Soucieux de la sécurité de nos enfants, nous attirons l’attention des responsables sur les risques mortels encourus à nos enfants qui traversent plusieurs fois les routes.

L'odeur nauséabonde dégagée par des chaussettes sales « très appréciée par les Chamkaras » pourrait venir à bout du paludisme.



Une équipe de chercheurs basée en Tanzanie compte venir à bout du paludisme en mettant au point des pièges odorants à base de senteurs de pieds qui attirent et tuent les moustiques. Lorsque les moustiques pénètrent dans le piège, ils tentent de le piquer et plutôt que de sucer du sang, ils se font tuer par un insecticide ou un agent biologique.

L'ORIGINE DU NOM EGYPT.


Un consul anglais du roi George II d’Angleterre en Egypte s’était lié d’amitié avec un groupe d’autochtones qui, dès qu’ils le voyaient venir d’Alexandrie, se bousculaient pour se servir des cadeaux que celui-ci leur apportait en criant en arabe « eh gibte, eh gibte, gibte eh ? » ? (qui signifie qu’as-tu ramené ?). Quand le consul retournait en Angleterre, le roi lui demandait les détails sur le pays et sur la façon de vivre du peuple afin de mieux planifier sa conquête. Le consul lui racontait ses aventures avec les gens du village dont le seul intérêt était les cadeaux et les traitaient alors de pays de « el gibte ». Toute leur attention était axée sur l’or et celle de leurs femmes, sur le chant.


En étalant la carte de Moyen-Orient, le roi se demandait la signification du mot « eh gibte », le consul lui répondit : « cela signifie qu’as-tu ramené ? » Alors le roi rit jusqu’à évanouissement sur la carte ; à son réveil, il jura d’appeler ce pays EGYPT, prit la plume et se mit à écrire ce nom. Et depuis ce temps, le nom de ce pays est EGYPT et non pas « MISR » comme en arabe !

A tous mes amis, meilleurs voeux pour l’année 2011.




Tous mes Voeux de Bonheur,
du plus profond de mon coeur,
pour cette nouvelle année,
sois heureuse et en bonne santé.


Très bonne année 2011


Souvenirs d’autrefois de l’école de la gare d’Ain Défali.

Cela fait du bien de se tourner de temps en temps vers ses souvenirs d’enfance et de revoir avec nostalgie ses premières rentrées scolaires, son premier instituteur ou le tableau noir sur lequel nous apprenions à tracer d'une main hésitante les lettres de l'alphabet. Qu'il est doux de revoir le bureau du maître ou de la maîtresse où nous avons récité d'une voix mal assurée nos premiers poèmes… Souvenez-vous de ces lourds cartables à deux poches seulement, souvent déjà usés par les grands frères ou sœurs, des livres de lecture « du petit et du gros chacal », du livre de calcul aux problèmes illustrés, des cahiers du jour, de la trousse, du plumier, de l'ardoise et de la boîte de plumes...
Il reste, gravées au fond de nos mémoires, des images qui nous rappellent les bons (et parfois les mauvais !) moments passés à user nos djellabas sur les bancs d'école...

Le deuxième à votre gauche est Hamri  de Béni-sennana et
 à l'arrière plan l'instituteur Ould Lakhlifa Mohamed.

A votre droite, l'instituteur d''Arabe, Ould Lakhlifa Mohamed.

Vous souvenez-vous de ces interminables parties de billes dans la cour ou à l’extérieur de l'école à l'ombre des majestueux arbres d’eucalyptus ? Souvenez-vous de ce personnage articulé fait de contre plaqué découpé et vêtu d'une djellaba, que l'instituteur utilisait en 1954-1955 pour permettre à ses élèves de s'exprimer ? Fixé sur le tableau noir par un clou, ce personnage pouvait prendre une multitude de positions. Il pouvait marcher, courir, lever les bras, etc... ... et quelques compléments dessinés sur le tableau permettaient de le rendre vivant : une pierre le faisait trébucher, un panier à la main et il allait au souk, un ballon au bout de son pied et il marquait un but à la plus grande joie des enfants qui l'avaient eux- mêmes baptisé Benya". Matériel pédagogique rustique, certes, mais innovant cependant, Benya a joué un rôle non négligeable dans l'apprentissage de ces élèves qui venaient à l'école avec bonheur malgré l'éloignement de leurs douars. L'auriez vous oublié ?
Encore aujourd'hui il m'arrive de sentir l'odeur douceâtre de craie et d'encre qui flottait dans les salles de classe et je revois, comme dans un vieux film, mes camarades courbés sur leurs pupitres en bois, s'appliquant consciencieusement à remplir une page d'écriture à l'encre violette en tirant la langue ou en pinçant les lèvres...