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La RAM décidé de ne plus utiliser la langue française à bord de ses avions.


La compagnie aérienne marocaine Royal Air Maroc (RAM) a décidé de ne plus utiliser la langue française à bord de ses avions, a annoncé le portail d’informations Tunisie Numérique. Pour donner les instructions aux passagers, le personnel de la RAM utilisera désormais uniquement les langues arabe et anglaise, a précisé le site.


Origines des tensions entre les deux États
Après la réduction de visas par Paris sous prétexte que Rabat traînait des pieds pour récupérer ses ressortissants indésirables en France, c’était l’affaire d’écoute Pegasus qui avait semé la plus grande discorde dans les relations entre les dirigeants des deux pays.
Pegasus est le nom du logiciel espion israélien accusé d’avoir infiltré le téléphone du Président français. Paris avait ainsi soupçonné Rabat d’avoir épié Emmanuel Macron et les membres de son gouvernement.

Maroc, la canicule atteint 48 degrés


 Cette semaine au Maroc, une grosse vague de chaleur va chauffer sur les provinces. Les institutions de météorologie annoncent des températures entre 37 et 48°C. Lundi et mardi, les températures ont ainsi atteint 44 et 48°C à l’ombre.

Aujourd’hui, le Maroc est classé en danger au regard des températures records que le pays affiche depuis lundi dernier, premier jour de la saison sèche. La chaleur qui sévit dans le pays peut causer d’énormes dégâts comme la baisse du niveau des eaux, la difficulté d’accès à l’eau potable et des plantations entières qui se meurent.

Les provinces de Ouezzane, Guercif, Taourirt, Oujda-Angad, Taounate, Moulay Yacoub, Sefrou, Fès, Meknès, Taza, Khemisset, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Beni Mellal, Fquih Ben Saleh, Khouribga, Settat, Marrakech, El Kelaa des Sraghna, Rehamna, Zagora, Tata, Taroudant et Assa-Zag, indique un bulletin d’alerte de niveau vigilance rouge. Là-bas, la chaleur a atteint les pics. 44 et 48°C depuis le début de la semaine.

Dans le même temps, le compteur affiche également rouge dans les provinces de Chefchaouen, El Hajeb, Boulemane, Khenifra, Youssoufia, Chichaoua, Essaouira, Inezgane-Ait Melloul, Agadir-Ida-Ou-Tanane, Tan-Tan, Sidi Ifni, Guelmim, Es-Semara et Aousserd, où les températures varient entre 42 et 44°C. Du côté de d’Al Hoceima, Driouch, Nador, Berkane, Ifrane, Azilal et Al Haouz, connaîtront, lundi et mardi, des températures ont aussi fait des pics, variant ainsi entre 37 et 41°C. Des chiffres qui ne rassurent pas pour les champs de céréales.

Avec la chaleur qui menace le royaume, les agriculteurs doivent explorer de nouvelles techniques pour une agriculture pérenne. Ils peuvent diversifier les systèmes de culture, pratiquer l’irrigation et la rotation des cultures en attendant une saison plus stable.

Maroc : Le roi lance un signal d’alarme face au stress hydrique


Le roi Mohammed VI a exhorté vendredi les Marocains, confrontés à une sécheresse historique, à relever les « défis urgents » de la pénurie d’eau, lors d’un discours à l’occasion de la rentrée parlementaire à Rabat.
« Le Maroc se trouve désormais dans une situation de stress hydrique structurel et la seule construction d’équipements hydrauliques (…) ne suffit pas à régler tous les problèmes », a expliqué le souverain devant les membres des deux chambres réunis au grand complet.


« Nous appelons donc à un traitement diligent de la problématique de l’eau, et notamment à une rupture avec toutes les formes de gaspillage ou d’exploitation anarchique et irresponsable de cette ressource vitale », a-t-il ajouté.
Le Maroc, dont l’agriculture est le premier moteur de croissance, traverse son pire épisode de sécheresse depuis plus de trois décennies, avec un taux de remplissage des barrages atteignant seulement 25,3%.
« Il est impératif d’accorder une attention particulière à une exploitation rationnelle des eaux souterraines et à la préservation des nappes phréatiques », a plaidé Mohammed VI.
La rentrée parlementaire se déroule dans un climat de crise économique et sociale, marquée par une accélération de l’inflation (+8% sur un an) alimentée par la flambée des prix des matières premières au niveau mondial et une croissance atone (+0,8%).

L'apiculture au Maroc

L'apiculture est une filière agricole qui a un caractère spécial au Maroc. Elle est pratiquement présente dans les différentes régions du Royaume, c'est une activité de production de miel où se côtoient méthodes modernes et artisanales avec une estimation de la production annuelle de miel d'environ 2500 à 3500 tonnes.
  • Trois races d’abeilles se répartissent le territoire du pays :

             - deux abeilles noires :

                           Apis mellifica intermissa dite tellienne :



                             Apis mellifica major :
                                                               

                  - Une abeille jaune d'or :

                            Apis mellifica sahariensis

  • LES TECHNIQUES DE PRODUCTION 


Les ruches modernes ont une forme homogène et leur fabrication est systématisée. Elles sont majoritairement du type Langstroth. Actuellement, l’apiculture moderne a nettement devancé les techniques traditionnelles de production.


Les techniques modernes de production côtoient toujours une apiculture artisanale. Les ruches traditionnelles sont fabriquées avec du matériel vernaculaire: poterie, bois, roseaux, ….Leur confection est manuelle et leurs formes hétérogènes, variables d’un apiculteur à l’autre. Le miel de ce système est majoritairement destiné à l’autoconsommation ou à une commercialisation en circuit court.
  • LES RESSOURCES MELLIFÈRES AU MAROC



De part son latitude et de sa géographie, le maroc dispose d’une biodiversité exceptionnelle. La flore compte environ 7000 espèces végétales. Les grandes régions mellifères s’étalent sur l’ensemble du territoire et desquelles on pourrait citer les forêts d’eucalyptus, les vergers d’agrumes et de rosacées, ainsi que des plantes caractéristiques des régions montagneuses, notamment le thym, le romarin et la lavande.
Les périodes de floraison sont variables et s’étalent tout au long de l’année, ce qui permet de faire de l’apiculture une activité à exercer en toute saison. Ceci constitue, par ailleurs, un facteur stimulant pour le développement de l’activité apicole sur l’ensemble des grandes zones bioclimatiques du Maroc.









Maroc : L'artiste Fathallah Lamghari tire sa révérence


 L’artiste et chanteur marocain Fathallah Lamghari est décédé samedi soir à l’âge de 82 ans dans un hôpital à Rabat, des suites d’une maladie, a-t-on appris auprès de sa famille. Feu Fathallah Lamghari a profondément marqué l’histoire de la chanson marocaine grâce à son répertoire riche repris par plusieurs artistes. «Allah Ala Raha», «Faynek Al Hbib», «Wallah manta maana» sont, entre autres, les chefs-d’œuvre de l’artiste.

L’artiste marocain qui fut également un grand parolier, a composé les textes de chansons ayant connu de véritables succès. D'ailleurs, il est derrière le succès des chansons comme «Maghiyara», «Kass El Bellar» et «Mouhal Ynessak Elbal» dont il a écrit les paroles, en plus de la chanson patriotique «Nidaa Al Hassan» qu’il a écrit à l’occasion de la Marche Verte.




L’Algérie rompt son engagement avec le Maroc et exploite la mine de Ghara Jbilet

 

L’exploitation des mines de Ghara Jbilet, dans la région de Tindouf, a été récemment lancée par l’Algérie. Avec cette initiative unilatérale, le pays rompt ses engagements, pris conjointement avec le Maroc au début des années 1970, concernant l’exploitation en commun de ce gisement de fer.
Le ministre algérien de l’Energie et des mines, Mohamed Arkab, a donné, en fin de semaine dernière, le signal de lancement pour l’exploitation de la mine de fer de Ghara Jbilet à Tindouf. Les travaux concerneront la région ouest en tant que site de la phase pilote.
Selon les médias officiels algériens, le gisement qui sera exploité s’étend sur une superficie de 5 000 hectares, soit un tiers de l’étendue totale de la mine (15 000 ha). Les réserves dans cette zone sont estimées à 1 milliard de tonnes de fer.
Le ministre algérien a indiqué que «ce projet structurant passera par plusieurs étape, de 2022 à 2040», notant que «la première s’opèrera de 2022 à 2025», avec l’extraction et le transport terrestre de «deux à trois millions de tonnes de minerai», en attendant l’achèvement de la ligne ferroviaire entre Bachar et le site d’exploitation.
Le Conseil des ministres algérien, tenu le 8 mai et présidé par Abdelmadjid Tebboune, a convenu de lancer la première phase du projet qui «représente une source importante de revenus pour le pays» et qui revêt une «importance vitale pour faire avancer le rythme du développement local et national» en Algérie.

La rupture d’un engagement pris dès les années 1970
Ce projet est l’une des illustrations des relations tendues entre le Maroc et l’Algérie. Le 15 juin 1972, la déclaration maroco-algérienne de démarcation frontalière a prévu l’exploitation conjointe de la mine de Ghara Jbilet. L’accord a été porté au Bulletin officiel algérien le 15 juin 1973 et a été ratifié par le gouvernement marocain, le 22 juin 1992.


Le document, qui porte le sceau du roi Hassan II (1962 – 1999) et celui du président Houari Boumédiène (1965 – 1978), précise qu’au vu de «la particularité qui caractérise les relations fraternelles existantes entre l’Algérie et le Maroc, il ne peut être admis que la frontière constitue une barrière entre les deux peuples frères, car elle est en fait un espace de croisements de sentiments et d’intérêts».
Cette promesse a été faite en présence d’une quarantaine de représentants de pays d’Afrique, venus participer au Sommet de l’Organisation de l’union africaine, tenu à Rabat. Les deux chefs d’Etats signataires ont affirmé que «la conclusion du traité de délimitation de la frontière algéro-marocaine et du traité de coopération pour l’investissement de Ghara Jbilet confirme [leur] ferme détermination à consolider les piliers d’une paix durable, à travers les années et les siècles».
Abdelhadi Boutaleb, alors ministre marocain des Affaires étrangères, a déclaré que Hassan II avait un intérêt particulier à exploiter la mine. Dans une interview au journal Al-Sharq al-Awsat, publiée en 2001, il a confirmé qu’après son retour de Tunisie, il a été chargé par le souverain de suivre le dossier avec son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika. Hassan II a souhaité un traitement rapide de la question, pour que l’accord entre en vigueur le plus tôt possible.
Le ministre marocain a aussi confié avoir pris des initiatives auprès de son homologue algérien, pour organiser une rencontre, au Maroc ou en Algérie, «mais toutes ses tentatives ont été infructueuses». Depuis, la question est restée en l’état, jusqu’à la réunion du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’OUA et son sommet à Lusaka, en Zambie, où Boutaleb a rencontré Bouteflika, qui a semblé déterminé à revenir sur l’accord.

FORTES CHALEURS ET CANICULES AU MAROC


Le Maroc, dans toutes ses régions, est soumis depuis quelques jours à de fortes chaleurs qui ont provoqué, notamment, des incendies de forêts dans le Nord. Cette canicule, qui est anormale même durant cette période de l’été, a affecté également d’autres composantes du monde rural tels les paysans, l’environnement et les animaux, dont le bétail.

Dans la région semi-aride de Tiflet, à 60 km au nord-est de Rabat, le thermomètre affichait 35°C dans le village de Moghane. L’air chaud y était difficilement respirable alors que les paysans étaient rares à se livrer à des activités à l’extérieur.


Le bétail de la région a été maintenu dans des granges pour être protégé de la chaleur et du soleil sauf pour les bêtes contraintes de paître dans les champs, faute de foin et d’aliments industriels dédiés au bétail.
La canicule, la sécheresse et la rareté de l’eau y ont compliqué les conditions de vie des cultivateurs. 

Le Maroc en passe de devenir la clé de voûte de l’approvisionnement alimentaire mondial.

  

Le Maroc, en tant que l’un des principaux producteurs d'engrais dans le monde, est en passe de devenir la clé de voûte de l’approvisionnement alimentaire mondial.
Le Maroc possède une grande industrie des engrais avec une énorme capacité de production et une portée internationale. C'est l'un des quatre premiers exportateurs d'engrais au monde après la Russie, la Chine et le Canada.


Il relève que le pays compte augmenter sa production d'engrais pour l'année en cours de 10 %, en mettant 1,2 million de tonnes supplémentaires sur le marché mondial, ce qui aidera considérablement les marchés mondiaux à faire face à la pénurie actuelle de ce produit vital.


Le Maroc pourrait donc devenir un élément central du marché mondial des engrais et un gardien de l'approvisionnement alimentaire mondial.
Le Maroc a un net avantage dans la production d'engrais phosphorés, car il possède plus de 70 % des réserves mondiales de roches phosphatées, dont provient le phosphore utilisé dans les engrais.


Cela fait du Maroc un gardien des chaînes d'approvisionnement alimentaire mondiales, car toutes les cultures vivrières ont besoin de l'élément phosphore pour se développer.


Abordant la question de l’énergie nécessaire pour produire les engrais, on retient que le Maroc est un pays leader dans les énergies renouvelables et détient des ressources solaires et éoliennes considérables.


En 2020, la société d'engrais de l'État a couvert 89% de ses besoins énergétiques par la cogénération (produisant deux formes d'énergie ou plus à partir d'une seule source de carburant) et des sources d'énergie renouvelables. Son objectif est de couvrir ainsi à terme 100 % de ses besoins énergétiques.

Panique dans le nord du Maroc après un tremblement de terre


La terre a tremblé vendredi 20 mai en début d’après-midi dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, où une secousse tellurique de magnitude de 5,2 degrés a été enregistrée sur l’échelle de Richter. Ce tremblement de terre a déclenché un vent de panique parmi la population.
L’épicentre du séisme s’est produit à 14h35, précise le Centre Euro-méditerranéen de sismologie (EMSC). La secousse ressentie serait située à « une très faible profondeur de 8 km » et à 38 km au large de la ville d’Al Hoceima.
La magnitude, l’épicentre et la profondeur exacte du séisme pourraient être revus dans les prochaines heures ou minutes à mesure que les sismologues examineront les données et affineront leurs calculs, explique la même source.

Ce tremblement de terre a provoqué un mouvement de panique chez de nombreux résidents d’El Hoceima qui sont sortis dans la rue. Mais il n’avait rien d’alarmant.

Les juifs marocains célèbrent leurs saints à Meknès



Le cimetière juif de Meknès au Maroc, fait peau neuve. Sa réhabilitation a permis de sauvegarder 170 tombes. Initiée par le roi Mohamed VI, elle est perçue par les juifs comme la reconnaissance de leur communauté, mieux un gage du caractère cosmopolite de la ville Meknès.
" Habiter à Mèknes... Vive Mèknes, vive le voisinage, vive la population... Aujourd'hui, c'est émouvant, et dans ce contexte-là, on aimerait souhaiter à tout le monde que cette coexistence continue.". explique le rabbin Nidam, juif israélien.
Pour les juifs, il est impérieux de promouvoir leur histoire dans le pays.
"Aujourd'hui, c'est spécial, parce que on voulait rehausser ce tableau pour faire connaître à la jeunesse l'histoire. Et comme Meknès est une ville qui est au centre du Maroc, il y'a eu pas mal de rabbins, il faut le faire savoir, parce que sinon, les gens ignorent qu'il y'a un cimetière." a déclaré Yosef Israël, Juge Rabbin au Tribunal de Première Instance de Casablanca.
Et c’est dans ce cimetière que la communauté a célébré jeudi la "Hillula des Tsadikim de meknès, après 60 ans de passage à vide. L’événement a réuni environ 500 personnes. Occasion pour ces hommes d’entrer en communion .


"C'est ce qu'on fait cette année, on fait une hiloula, c'est à dire on honore nos saints, ce qui n'a pas été fait depuis à peu près 70 ans, c'est une manifestation qu'on va, et j'espère, tout à l'heure, fêter, dans la liaise, la ferveur et dans la piété.", a souligné Serge Berdugo, secrétaire général du Conseil des communautés juives du Maroc.
Cette célébration intervient quelques mois après la normalisation des relations entre Israël et le Maroc. Un retour aux meilleurs sentiments qui est loin d’être une mauvaise chose pour les Juifs marocains.

Le Maroc met fin à l'obligation du test PCR pour l'accès au territoire national


Le gouvernement marocain décide l'annulation de la condition du test PCR pour l'entrée au territoire national.
L'annonce a été faite via un communiqué officiel du département du chef du gouvernement ce 17 mai.
Cette décision entre en vigueur immédiatement. Le gouvernement explique que cette mesure intervient suite à l'amélioration de la situation épidémiologique au Maroc.

Maroc : Dimanche premier jour du mois de Ramadan

 

Le Maroc a annoncé que dimanche, 03 avril 2022 sera officiellement le premier jour du mois de Ramadan béni. L'annonce a été faite par le ministère des Habous et des Affaires islamiques, qui a indiqué avoir observé le croissant lunaire du mois béni de Ramadan ce vendredi 1er avril 2022, précisant que « tous les délégués du ministère dans le Royaume et les unités des Forces Armées Royales associées à l'observation ont confirmé la non-observation du croissant lunaire annonçant le mois sacré de Ramadan ». De ce fait, le mois de Chaâbane (8ème mois du calendrier musulman) aura épuisé ses 30 jours et le premier jour du mois sacré du Ramadan 1443 de l'Hégire correspondra au dimanche 03 avril 2022, ajoute le ministère.

Maroc : de nouveaux radars automatiques opérationnels sur les routes

 

Les radars « nouvelle génération » annoncés par le ministère des Transports sont déjà opérationnels dans de nombreuses villes marocaines, prêts à verbaliser une panoplie d’infractions.
Ces appareils dotés de plusieurs fonctionnalités sont désormais visibles sur les grandes routes depuis le début de la semaine, rapporte H24Info.
Ils ont été installés pour détecter des infractions telles que « les excès de vitesse, le non-respect de la vitesse moyenne, le dépassement de lignes continues et le non-respect d’un feu rouge », a expliqué Fouad Naciri, responsable à la NARSA, selon qui les radars peuvent identifier jusqu’à 24 véhicules simultanément.

S’agissant des contraventions en cas d’infraction, le responsable a souligné qu’« aucune augmentation n’a été introduite », rejetant ainsi les rumeurs distillées au sein de l’opinion.
Par ailleurs, les réclamations des infractions liées aux radars fixes seront externalisées et confiées aux agences Albarid Bank et Barid Cash. Dans ce sens, une campagne relative au contrôle des infractions liées aux nouveaux radars sera lancée, a-t-il indiqué.

Répartition des radars routiers dans les villes et provinces.


Depuis le mois de décembre, le ministère des Transports a procédé à l’identification du nombre de radars de vitesse à travers le Maroc, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur des agglomérations.
C’est Casablanca qui sera dotée du plus grand nombre de radars routiers. 41 sites d’installation de radars automatiques en milieu urbain ont été identifiés.
Dans les autres villes, le ministre a prévu d’installer 12 dans la préfecture de Rabat, 9 dans la préfecture de Salé, 8 dans la préfecture de Skhirat-Temara, 14 dans la préfecture de Kénitra, deux sites dans la province de Khemisset et Larache, trois sites dans la province de Tétouan, 14 dans la préfecture de Tanger-Asilah, 11 dans la préfecture de Fès, 9 dans la préfecture de Meknès, 8 dans la préfecture d’Oujda-Angad, 6 dans la province de Nador, et deux dans la préfecture de Mohammedia.
S’agissant des compteurs de vitesse, en milieu urbain, la décision répertorie quatre sites pour l’installation de nouveau dispositifs dans la province de Settat, 6 dans la province d’El Jadida, deux sites dans la province de Khouribga, 6 dans la province de Safi, 18 sites dans la préfecture de Marrakech, et un site dans les préfectures d’Errachidia, Ouarzazate, Taroudant et Tiznit.
Dans les provinces, 5 sites ont été identifiés à Agadir-Ida-Ou-Tanane, deux sites dans la province Guelmim, un site dans la province de Tan-Tan et 3 sites dans la province de Dakhla-Oued Eddahab, fait savoir le document, précisant que ces nouveaux appareils d’origine américaine, acquis par le Maroc, permettront de surveiller la vitesse des véhicules sur les routes nationales et dans les villes, vu le nombre élevé d’accidents enregistrés ces dernières années, et des victimes qui en résultent.
Pour rappel, le ministère de l’Équipement a annoncé qu’un total de 140 radars mobiles et plus de 140 radars fixes ont été mis à la disposition des services de la Sûreté nationale et de la Gendarmerie royale.

Le Maroc suspend les liaisons aériennes pendant 15 jours

 

Face à la propagation rapide du nouveau variant du Covid-19, Omicron, notamment en Europe et en Afrique, le Maroc vient de décider de suspendre tous les vols de passagers à destination du Royaume et ce pour une durée de 15 jours.
« En raison de la propagation rapide du nouveau variant du virus de la Covid-19 – Omicron (B.1.1.529), notamment en Europe et en Afrique, et afin de préserver les acquis réalisés par le Maroc dans la lutte contre la pandémie et protéger la santé des citoyens il a été décidé de suspendre tous les vols directs de passagers à destination du Royaume du Maroc, pour une durée de 2 semaines, à compter du lundi 29 novembre 2021 à 23h59 », est-il indiqué dans un communiqué de presse.
Toutefois, la situation sera évaluée régulièrement, précise le Comité selon lequel celle-ci pourra être ajustée en cas de besoin.
Cette suspension prend effet ce lundi 29 novembre 2021 à 23h59, fait savoir le Comité interministériel de suivi du Covid.