Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez
Affichage des articles dont le libellé est La légende des régiments marocains.. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est La légende des régiments marocains.. Afficher tous les articles

Les hirondelles de la mort.


c’est l’étrange surnom que l’armée d’Hitler donnait aux soldats marocains Pourtant, à l’origine, il était plutôt flatteur. L’expression est née chez les Allemands pendant la première guerre mondiale, après plusieurs combats menés au printemps. Un poème écrit en 1915 par un officier évoque pour la première fois ces « hirondelles » qui annoncent, avec leurs capuches sombres, non pas le printemps, mais une mort certaine. Le surnom s’appliquait au départ à certains régiments particulièrement coriaces, comme le premier régiment de tirailleurs marocains (1er RTM), avant de prendre le sens de « soldat nord-africain ». En plus des tirailleurs, les troupes marocaines comprennent des régiments d’infanterie, des spahis (cavaliers), et des tabors (unités auxiliaires composées de goumiers). Ces unités réputées ont pris part aux deux guerres mondiales, mais aussi à toutes les guerres coloniales. Ainsi, les soldats marocains sont largement utilisés par les Français dans la guerre d’Indochine (1946-1954). Beaucoup rejoignent alors les indépendantistes du Viet-Minh et s’installèrent au Vietnam. Même après l’indépendance du Maroc, ils y sont vus comme des dissidents potentiels : Hassan II ne les autorise à rentrer au pays qu’en 1972.