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Brexit. La question irlandaise peut faire échouer les négociations.

Michel Barnier négociateur du Brexit pour l'UE lors d'une conférence en Irlande
Michel Barnier négociateur du Brexit pour l'UE
lors d'une conférence en Irlande


Le négociateur de l’Union européenne a averti lundi lors d’une conférence donnée en Irlande qu’une sortie du Royaume-Uni sans accord était possible. À cause des questions liées à la frontière entre l’Irlande et sa voisine du nord, mais aussi des autres sujets de désaccords.
Le négociateur en chef du Brexit pour l’Union européenne Michel Barnier a mis en garde lundi sur le risque de voir échouer les négociations avec Londres sur le Brexit en raison de la question de la frontière irlandaise.
« Le cadre de l’accord doit contenir une solution claire et opérationnelle concernant l’Irlande », a dit Michel Barnier lors d’une conférence de presse en Irlande. « Tant que nous n’aurons pas atteint cet accord, il y a un risque » que ces négociations n’aboutissent pas, a-t-il ajouté.
Maintenir la paix

S’exprimant à Dundalk, à un jet de pierre de la frontière avec l’Irlande du Nord, il a dit espérer des progrès d’ici les conseils européens de juin puis d’octobre, tout en insistant sur le fait qu’il n’est pas « favorable à repousser davantage » la conclusion d’un accord.
Le Royaume-Uni comme l’UE disent vouloir éviter le rétablissement d’une frontière « dure » entre la province britannique d’Irlande du Nord et la République d’Irlande voisine, membre de l’UE, après la sortie britannique de l’UE fin mars 2019.
Il s’agit de préserver l’accord de paix de 1998 ayant mis fin à trois décennies d’affrontements sanglants entre nationalistes et unionistes nord-irlandais, en renforçant les liens entre les deux territoires.

D’autres désaccords toujours là

Michel Barnier a aussi rappelé que la mise en place de la période de transition prévue de la fin mars 2019 jusqu’au moment de la sortie officielle du Royaume-Uni de l’UE, à la fin décembre 2020, dépendait de la conclusion d’un accord sur la sortie elle-même entre Londres et Bruxelles en octobre.
En mars, les Britanniques avaient accepté d’intégrer dans l’ébauche d’accord de retrait de l’UE l’option d’un « espace réglementaire commun » incluant l’UE et l’Irlande du Nord, au moins jusqu’à ce qu’une solution satisfaisante soit proposée.
Cette solution, dite de « backstop », « est sur la table à cause des lignes rouges dressées par le Royaume-Uni », a souligné lundi M. Barnier, Londres ayant décidé de quitter l’union douanière et le marché unique après le Brexit.
Pour lui, il s’agit d’une « solution opérationnelle » proposée par l’UE et non d’une « remise en cause de l’intégrité constitutionnelle du Royaume-Uni », où certains craignent de voir naître une frontière interne si l’Irlande du Nord reste alignée sur la réglementation européenne contrairement au reste du pays.
Une critique exprimée notamment par les élus du petit parti unioniste nord-irlandais DUP, allié vital de la Première ministre britannique Theresa May qui détient une majorité très fragile au Parlement de Westminster.




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