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Qui est Mohammed Ben Salmane, le prince héritier d'Arabie saoudite ?


Il a été nommé mercredi prince héritier par un décret royal. Le fils préféré du roi Salmane remplace son cousin. Récit d'une ascension rapide.
Le roi Salmane d’Arabie saoudite a nommé mercredi par décret son fils Mohammed nouveau prince héritier, en remplacement de son cousin Mohammed ben Nayef, limogé. Le jeune prince âgé de 31 ans confirme ainsi son ascension fulgurante depuis qu’il a été nommé ministre de la Défense.
L’expert américain Bruce Riedel, de la Brookings Institution, le qualifiait, en février 2015, de « prince à suivre », « agressif et ambitieux ».
À 30 ans (il est né à Djeddah en 1985), Mohammed Ben Salmane avait alors été promu ministre de la Défense de l’Arabie Saoudite et n° 2 dans l’ordre de succession, derrière Mohammed Ben Nayef.

Pouvoir et influence

En 2016, c’était déjà l’heure de gloire pour le prince, coqueluche des médias, encensé sur Twitter par une jeunesse qu’il arrose via ses multiples fondations. On voyait « MBS » plastronner avec les généraux, devant des cartes d’état-major ou au chevet des premiers blessés. Le jeune ministre, qui se targue de « dix ans d’expérience dans le privé » - sans fournir de détails - volait aussi à Moscou, où Poutine le recevait avec égards, et traitait avec François Hollande et Jean-Yves Le Drian pour négocier des achats d’armes au profit des alliées des Saoudiens.

Le prince Mohammed ben Salmane devient l’héritier du trône d’Arabie saoudite

Aujourd’hui, à 32 ans, le fils préféré du roi Salmane, 80 ans, monté sur le trône en janvier 2015, vient d’être propulsé au rang de prince héritier, supplantant Mohammed Ben Nayef, qui a été pendant des années chargé des services du contre-terrorisme du pays et qui est relevé de toutes ses fonctions. Il a réussi à avoir un pouvoir et une influence extraordinaires en très peu de temps.
Si la promotion de Mohammed Ben Salmane était attendue dans les cercles proches du pouvoir saoudien, la rapidité de son ascension et de la mise à l’écart de ses cousins plus en vue n’en a pas moins surpris. Elle intervient après deux années et demie de profonds changements dans le royaume.

Homme de changement et de pouvoir

Ainsi « MBS » a lancé Vision 2030, un vaste plan de réformes destiné selon ses propres termes, à mettre fin à « l’addiction au pétrole » du pays et à s’attaquer enfin aux défis de long terme que Riyad n’était pas parvenu à régler. Il a aussi la haute main sur Aramco, la première compagnie productrice de pétrole au monde dont il préside le conseil de surveillance. Ce qui en fait le premier membre de la famille royale à superviser directement la compagnie pétrolière nationale, longtemps chasse gardée de technocrates.
Il dirige aussi le Conseil pour les affaires économiques et de développement, qui réunit chaque semaine les ministres en charge des questions économiques et sociales, touchant aussi bien à l’éducation qu’à la santé ou au logement.

Le risque yéménite

Ministre de la Défense depuis 2015 (portefeuille qu’il conserve), « MBS » supervise l’un des plus gros budgets militaires au monde. Le pays, qui consacre 10 % de son PIB à sa défense, arrive en 4e position derrière les USA (son principal fournisseur d’armement), la Chine et la Russie.
Comme ministre de la Défense, il est surtout l’artisan de l’intervention saoudienne sans précédent lancée au Yémen en 2015. Une opération qui s’enlise, qui bute sur la détermination des combattants houtistes appuyés par Téhéran et qui est entachée de nombreuses bavures et de lourdes pertes civiles. Conséquences de ce possible fiasco : l’ambition saoudienne d’affirmer sa suprématie régionale est à la peine, tout comme la volonté de Ryad de contrecarrer les manœuvres iraniennes.
Mohammed Ben Salmane sera tenu pour responsable en dernier ressort de l’issue de cette opération militaire un peu oubliée par la communauté internationale, toute à sa lutte contre Daech et les réseaux terroristes.

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