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Nous dormons 203 300 heures, soit le 1/3 de notre vie !

203300 est le nombre d’heures que nous dormons soit environ un tiers de notre vie, ou un peu plus de 23 ans. Et quelques 128 000 rêves et cauchemars peuplent toutes ces nuits !
Le sommeil est indispensable à la vie car il permet à l’organisme de récupérer et au cerveau d’acquérir des nouvelles informations et de consolider les expériences vécues. Un animal privé volontairement de sommeil meurt.


Chez l’humain, la privation de sommeil est une forme de torture; elle permet d’inféoder un individu.
Pour simplifier, on peut dire que le sommeil lent est plutôt celui qui permet de récupérer de la fatigue physique, tandis que le sommeil paradoxal a plutôt un rapport avec le "mental".
Une bonne qualité de sommeil tout au long de la nuit est le garant du bien-être général, de performances optimales dans la journée et plus généralement d’une bonne qualité de vie!

Les plus beaux sanctuaires et lieux de pèlerinage à visiter au Maroc

Ce lieu sacré abrite le tombeau de Moulay Idriss II, sous le règne de qui Fès devint une cité impériale, la première du Maroc. Il est recouvert d'une étoffe de soie dorée, offerte par la corporation des tisseurs de soie, ainsi que celui, plus petit, de sa mère. C’est un lieu de pèlerinage, où l’on vient invoquer la baraka, la chance. Les fidèles pourront toucher la sépulture du saint homme, descendant de la famille du Prophète, à travers une plaque de cuivre percée.


Le marabout Sidi Abdesslam passe ses dernières années dans ce village au XVIe siècle. Son mausolée au toit vert et tout en zelliges bleus attire chaque année des pèlerins de tout le Maroc qui viennent se recueillir et prier pour obtenir sa bénédiction. Le village se trouve au fond d'un vallon au beau milieu des oliviers. Vous pouvez admirer au loin les anciennes habitations troglodytiques reconverties aujourd'hui en entrepôts.

  • ZAOUIA DE MOULAY BOUCHTA

    C’est ici que l’on situe l’origine de la tradition de la fantasia marocaine. On s’y rend également en pèlerinage pour recevoir le don de la musique ! La zaouia de Moulay BouChta el-Khammar, de son vrai nom Mohamed Ibn Moussa Ech-Chaoui, est un sanctuaire bâti à la mémoire du saint, à l’époque de sa venue au XVIe siècle.
    Il s’agit d’un joli petit bâtiment à colonnades, aux briques apparentes recouvertes de chaux.

  • ZAOUÏA DE SIDI BEL ABBÈS
Située près de Bab Taghzout, attenant à la mosquée et à la médersa de Sidi bel Abbès, la zaouïa est l’un des lieux de pèlerinage les plus fréquentés de la ville. C’est dans ce mausolée, édifié en 1605 par le sultan saadien Abu Farès et restauré dans la seconde moitié du XVIIIe siècle par l’Alaouite Sidi Mohammed ben Abdallah, que repose Sidi Abou el-Abbes es-Sebti, l’un des sept saints de Marrakech. La zaouïa est particulièrement fréquentée par des paysans, des commerçants et des aveugles. Vous pouvez encore y voir chaque soir (et notamment le mercredi, jour consacré au saint homme) des offrandes en nature ou en espèces (dattes, paniers, mais aussi dirhams…) déposées pour les pauvres et les mendiants. Ceux-ci se rassemblent dans la cour de la mosquée, entre le porche haut de 10 m et orné de rosaces de céramique et de poutres sculptées, et une monumentale fontaine superbement ciselée de frises de pierre. La calligraphie, qui court tout le long de l’auvent, font de cette fontaine l’un des joyaux de Marrakech : sa niche, sous un arc brisé aux stalactites de stuc, est ornée d’une récente et superbe grille en ferronnerie aux entrelacs multicolores. Vous accédez à la zaouïa par le souk El-Mjadlia, le souk des passementiers, aujourd’hui devenu souk aux objets pieux (encens, images, cierges…), encore couvert et soutenu par de larges piliers datant de sa construction en 1850. Seuls les musulmans sont autorisés à franchir l’entrée de la zaouïa où une plaque, fixée dans le mur, signale qu’elle est « interdite aux non-musulmans ». 

  • ZAOUÏA DE SIDI KAOUKI
Face à l’océan, la tombe immaculée du marabout Sidi Kaouki est célébrée chaque année par les habitants de la région lors du traditionnel moussem du mois d'août. Une bâtisse plus récente, de plusieurs étages, se dresse à ses côtés. Ce guide spirituel est enterré là où il avait élu domicile à la fin du XIXe siècle. Son mausolée est aujourd'hui un endroit vénéré et réservé à la méditation. On y vient quand on a des soucis car le saint patron, inhumé sous la coupole blanche du marabout, détient le pouvoir de régler les problèmes quotidiens de ses fidèles.

Pourquoi, lorsque quelqu’un éternue, lui dit-on : « A vos souhaits » ?


Dans bien des langues, il est d'usage de ponctuer un éternuement d'une formule semblable : les anglophones diront « God bless you! », les Polonais « Na zdrowie » et les Espagnols, « Jesus! ».


Chez les anciens, l’éternuement était un augure, favorable ou non, selon que l’on éternuait le jour, la nuit, à gauche, à droite. D’ailleurs, on s’exclamait : « Que Jupiter te conserve ou t’assiste ! » Reprenant ce terme de conjuration, les chrétiens (qui pensaient que l’âme pouvait quitter le corps lors d’un éternuement !) adoptèrent : « Que Dieu vous bénisse ! » Aujourd’hui, cette expression purement religieuse s’est vu damer le pion par la formule de politesse « A vos souhaits ! ».

Fontaine Bethesda, New York, , États-Unis

La fontaine Bethesda (en anglais :Bethesda Fountain) se situe au centre de la Bethesda Terrace dans Central Park, à New York. La sculpture de la fontaine a été dessinée par Emma Stebbins en 1868 inaugurée en 1873. Stebbins était la première femme à préparer un projet artistique pour la ville de New York. Les quatre chérubins représentent les vertus : la tempérance, la pureté, la prospérité et la paix.

 






L'assassinat de Martin Luther King

Le 4 avril 1968, le pasteur Martin Luther King est abattu d’une balle devant sa chambre de motel à Memphis aux Etats-Unis. Les Américains et le monde entier découvre avec stupéfaction ce crime odieux, perpétré contre un des ardents défenseurs de la lutte contre la discrimination raciale. Au-delà du meurtre gratuit, c’est un des bastions de la lutte pacifiste contre la ségrégation qu’on a fait taire. Un homme sera arrêté, jugé et condamné, mais était-il vraiment coupable ? Ou s’agissait-il juste d’un bouc émissaire appartenant à une opération orchestrée par une puissante instance gouvernementale ? De nombreuses et inquiétantes zones d’ombre planent sur cette affaire !

Martin Luther King

Les faits
Le 4 avril 1968 vers 18h00, le pasteur Martin Luther King s’écroule devant sa chambre de motel à Memphis, tué d’une balle de fusil en pleine mâchoire. Il était venu défendre la grève déclenchée par les éboueurs de la ville, à majorité noire. Le coup de feu semble venir d’un immeuble en face, et les policiers s’empressent d’aller faire une razzia en ordre. Mais le tueur a déjà pris la fuite à bord d’une Mustang blanche. Les forces de l’ordre mettent à jour un fusil soigneusement emballé, des sous-vêtements, un journal et une paire de jumelle. Quelques empreintes digitales sont également retrouvées sur l’arme et dans la pièce. Les policiers découvrent alors que l’arme a été achetée par une certain Harvey Lowmeyer dans une armurerie de Birmingham, et que la chambre a été louée par John Willard. Mais après quelques vérifications, il s’avère que Willard et Lowmeyer ne font qu’un. Il s’agit de James Earl Ray, un évadé du pénitencier du Missouri. Une coopération américano-anglo-canadienne permettra d’arrêter le fugitif un mois plus tard à Londres.
Le procès du meurtrier de Martin Luther King débute le 10 mars 1969. Sur les conseils de son avocat, James Earl Ray plaide coupable et évite ainsi la chaise électrique. Etonnement, il refuse un procès public. Il est condamné à 99 ans de prison. Mais au-delà de ce jugement, le fait qu’il plaide coupable jette un voile sur le mobile et sur les détails de l’assassinat, qui ne seront bien évidemment pas débattus lors du procès. Comprenant trop tard qu’il s’est fait piéger, James Earl Ray reviendra sur ses déclarations trois jours plus tard. Martelant qu’il est innocent du crime, il veut la révision de son procès. Mais rien n’y fera, malgré sa pugnacité, il restera aux yeux de tous le tueur du pasteur. Et pourtant, le dernier fils de Martin Luther King croira en l’innocence de cet homme. D’ailleurs sur son lit de mort, James Earl Ray avouera encore et toujours qu’il n’est pas celui qui a pressé sur la détente.

James Earl Ray

Les émeutes
Naturellement la mort du leader noir a déclenché des émeutes sans précédents aux Etats-Unis. Rien qu’à Washington, on dénombre 700 incendies, 46 morts, 3000 blessés et 27'000 arrestations. Le pays est en proie aux saccages systématiques. Prêt de 150 villes sont aux abois. Les blancs se réfugient dans les banlieues pour échapper aux jeunes noirs armés et en colère. Le Maire de Détroit comparera même sa ville au Berlin de 1945. Prêt de 4700 soldats sont déployés pour mettre un terme à la vague de violence. Le rêve de King sombrait dans le cauchemar. La population vengeait sa mort d’une façon qu’il avait combattu toute sa vie.
Biographie
Né à Atlanta le 15 janvier 1929, Martin Luther King est issu d’une famille relativement aisée. A 19 ans, il devient pasteur baptiste, poursuivant ainsi la tradition familiale. En 1955 il obtient un doctorat à l’université de Boston. Il épouse Coretta Scott en 1953. C’est en 1955 qu’il commence sa carrière d’activiste pacifiste. Il est nommé président d’une association qui lutte contre la ségrégation raciale dans la ville de Montgomery dans l’état d’Alabama. Elle s’est créée suite à l’incarcération d’une noire qui avait refusé de céder sa place dans un bus pratiquant la discrimination. Le mouvement décide de boycotter tous les établissements qui exercent de telles pratiques. Et ils sont nombreux ! Le but avéré de King était d’attirer l’opinion et la presse sur ces pratiques. Et ça marche ! Si bien qu’il devient le leader de la cause noire. En 1956, la Cour fédérale condamne la ségrégation qu’elle qualifie d’inconstitutionnelle. King a gagné sa bataille et entraîne avec lui une foule énorme, à qui il prône de ne pas répondre à la violence par la violence. En 1963, il s’attaque à un des bastions de la ségrégation en Alabama. Il pousse l’oppresseur à commettre des actes de violence en plein jour et devant les caméras, afin d’amener le gouvernement à légiférer. King est arrêté, mais Kennedy vole à son secours. Le 28 août de cette même année, c’est la marche sur Washington, qui réunira près de 250'000 sympathisants. Devant le Lincoln Memorial, il prononce l’un de ses plus fameux discours : « I have a dream ». Mais cette même année, le plastiquage d’une église baptiste à Birmingham, dans laquelle 4 fillettes noires trouveront la mort, donnera naissance à une branche bien plus radicale du mouvement, à savoir : Le Black Power. Las des sermons de King, ces adeptes veulent répondre à la violence par la violence. La mort de JFK déprima également le pasteur, qui prophétisa en lançant cette phrase : « C’est certainement ce qui m’attend aussi. Cette société est malade ». En 1964 il signe avec le président Johnson une loi sur les droits civiques. Cette même année, il reçoit le Prix Nobel de la Paix. En 1965 il obtient le droit de vote pour les noirs et en 1966 il décide de s’attaquer au nord du pays. Malheureusement des trahisons internes et l’assassinat de Malcolm X (autre activiste plus radical) divisent ses adeptes. Il n’arrivera pas à ses fins. Déçu, il devient plus ferme dans ses positions et décrie ouvertement la guerre du Vietnam en 1967. Pourtant, grâce à ses mouvements, un juge noir est officiellement nommé à la Cour Suprême, ce qui est en soi une importante victoire pour les droits civiques de la communauté. Le jour avant sa mort, il prononcera son ultime discours devant 20'000 personnes. Discours poignant, mais teinté de prémonitions : « Je ne sais pas ce qu’il va arriver maintenant, mais ça m’est égal. Je suis arrivé au sommet d’une montagne… ». Le lendemain, il est tué d’une balle en pleine mâchoire qui lui sectionne la moelle épinière.
Pourquoi Ray plaide-t-il coupable alors ?
En fait, la raison est un peu complexe. Grosso modo, pour ne pas rentrer dans les détails, il s’est fait piéger par son avocat, croyant qu’il fallait plaider coupable à une tentative d’assassinat et non à une accusation d’assassinat. Car Ray avait bien expliqué à son défenseur qu’il n’était pas le tireur. Malheureusement, comme tout le monde voulait clore l’affaire au plus vite, il était indispensable de ne pas entrer dans un procès qui s’allongeait sur les détails de l’enquête, le mobile, etc. Les preuves paraissaient trop flagrantes pour s’enfoncer sur cette voie. En plaidant coupable, le meurtrier échappait à la peine de mort, le procès ne trainait pas en longueurs et les esprits se calmaient dans la rue.
Les zones d’ombres
Plusieurs zones d’ombres planent sur la culpabilité de James Earl Ray. En voici les plus importantes :
1. Le profil du tueur. Ray n’a jamais été un tueur. Il était connu des services de police pour des vols, des escroqueries et ses multiples évasions, mais absolument pas comme meurtrier. Quand à sa prétendue appartenance à des milieux racistes, elle reste peu établie.
2. La balistique n’a jamais pu prouver que la balle qui a mortellement atteint Luther King provient bien de l’arme de Ray. De plus, elle n’a pu établir que l’arme ait bien servi ce jour là.
3. De nombreux témoins ont aperçu de la fumée s’élever des bosquets au pied de l’immeuble, ce qui tend à prouver qu’une deuxième personne se trouvait bien à cet endroit. Comme par hasard, les bosquets ont été rasés pendant la nuit suivant l’assassinat, pour un soi-disant complément d’enquête… !
4. Le jour avant le décès du pasteur, un officier de la sécurité avait ordonné de déplacer la chambre de Martin Luther King du rez-de-chaussée au 1er étage. Cet officier demeura introuvable par la suite.
5. Etonnement les gardes du corps de la victime n’étaient qu’au nombre de deux ce fameux jour, alors qu’habituellement il se déplaçait toujours accompagné de 6 ou 8 gardes du corps.
6. Si Ray avait été le tueur, il n’aurait certainement pas pris le soin de remballer le fusil dans du papier journal avant de quitter les lieux. De plus, cela entre en contradiction avec les toutes les affaires retrouvées dans la chambre. Il aurait pris le temps d’emballer le fusil, mais pas de ramasser tous les indices qui auraient pu le confondre. Si vraiment il avait été un tueur, il aurait tout embarqué avec lui et n’aurait pas laissé des empreintes partout.
7. Enfin le témoignage d’un voisin de palier, qui le décrit comme plutôt petit, alors que Ray mesure près d’un mètre quatre-vingt. Après coup, on saura que ce témoin était un alcoolique, criblé de dettes de jeu, qui comme par hasard, avait eu son ardoise effacée peu de temps après.
Outre ces points significatifs, nous pourrions ajouter les huit demandes de révision de son procès qui n’ont jamais abouties et ses déclarations qui n’ont jamais varié d’un iota jusqu’à sa mort.
La version de Ray
James Earl Ray a déclaré qu’il avait été engagé par un certain Raoul et son frère Johnny à Toronto au Canada. Les deux hommes l’avait chargé d’effectuer un travail bien rémunéré de contrebande. Ceux-ci travaillant eux-mêmes pour une organisation, dont il n’a jamais su le nom. Il a toujours présumé qu’ils devaient appartenir à la mafia ou à une instance gouvernementale. Son rôle était d’acquérir une arme, de louer une chambre à Memphis et de remettre cette arme à une tierce personne. Il prétend également ne pas s’être trouvé dans le quartier au moment des incidents, mais en train de faire réparer une roue dans un garage. Lorsqu’il entendit le branle-bas de combat aux alentours de sa chambre, il prit la poudre d’escampette, pensant qu’il avait été manipulé. De plus étant en cavale, il avait tout intérêt à ne pas se monter. Il a indiqué que cela devait certainement Raoul le tireur, car il l’avait rencontré devant la porte d’entrée quelques temps auparavant.

Motel Lorraine

Qui peut donc être derrière tout ça ?
Plusieurs possibilités ont été envisagées. La mafia, une organisation proche du Ku Klux Klan ou le FBI. La mafia reste envisageable. Car les revendications de King et son appui aux grévistes ont probablement dérangé. De plus sa position contre la guerre du Vietnam pouvait s’avéré dangereuse. Seulement, la mafia n’aurait certainement pas attendu si longtemps avant de supprimer Martin Luther King et ne se serait pas lancé dans une opération si compliquée. Enfin, Ray aurait certainement été assassiné en prison avant d’avoir pu révéler quoi que ce soit. Le Ku Klux Klan peut tout aussi bien être responsable. On sait que des personnalités hautement placées étaient membres de cette organisation. Cependant ce n’est pas trop la marque de fabrique de cette société. Le Ku Klux Klan frappe, brûle, plastique et torture, mais ne tue que très rarement par balle. Enfin il y a le FBI, qui ont le sait, a harcelé Martin Luther King et tenté de le déstabiliser. Edgard Hoover était un opposant au pasteur, qu’il qualifiait de porte-parole du mouvement communiste. On a retrouvé une lettre de menace émanant du FBI. Son téléphone était constamment sur écoute. Hoover a tenté de faire tomber King en révélant à sa femme, ses nombreuses infidélités. On sait également que le FBI le suivait régulièrement. Tout ça n’indique pas que le bureau fédéral soit derrière son assassinat, mais cela tend à prouver qu’ils ont tout essayé pour le détruire.
Les théories les plus répandues
Sans rentrer pour autant dans la théorie du complot, il est fort probable qu’une instance gouvernementale soit à la base du meurtre de Martin Luther King. Le leader noir devenant trop gênant et ses discours trop radicaux. En s’attaquant de front à la guerre du Vietnam, il est probable que King ait signé son arrêt de mort. Quand à savoir s’il s’agit du FBI, de la CIA ou des Services secrets, c’est une autre histoire. On suppose que Raoul et Johnny étaient en fait des hommes à la solde de cette instance, dont le but était de dénicher un parfait bouc émissaire et de mettre en place un piège qui ne permette pas de remonter jusqu’à eux. Ray est le type idéal. Ancien tireur d’élite, repris de justice, vivant dans un état où la discrimination est habituelle et, qui plus est, en cavale. Le piège se referme inexorablement et Ray tombe dans le panneau. Seulement voilà, Raoul et Johnny n’avait pas prévu que Ray irait faire réparer une roue au moment de l’attaque. Donc, il faut qu’un des deux hommes se montrent à la fenêtre juste après le coup de feu pour faire diversion et ensuite quitter les lieux tranquillement. Maintenant il n’y a plus qu’à attendre que la police fasse le reste. De toute évidence, avec les empreintes, la location de la chambre et le fusil, personne ne pourra contester les preuves accablantes contre James Earl Ray. Comme celui-ci ne connait que les prénoms de ses mandataires, personne ne pourra jamais remonter jusqu’à eux.
Une autre théorie a émergé concernant un groupement d’extrême droite qui serait à l’origine de cet assassinat. Probablement une branche ultra du Ku Klux Klan. Les faits seraient partiellement similaires, sauf que le FBI aurait masqué la vérité, afin de ne pas créer de nouveaux troubles qui auraient pu s’avérer incontrôlables. Déjà que les années 70 avaient été ébranlées par l’affaire du Watergate !
Rien ne permet bien entendu de prouver de telles accusations si ce n’est les pratiques plutôt douteuses de renseignements et de déstabilisation du FBI, ainsi que les nombreuses pages de dossier enfermés sous clé pour 50 ans.
Epilogue
En 1977 une commission chargée d’enquêter sur l’affaire a statué que James Earl Ray n’avait certainement pas agi seul et qu’un groupe d’activistes proche du Ku Klux Klan était derrière ce meurtre. Elle ne réduisait pas pour autant la participation de Ray, qui restait à ses yeux l’homme qui avait pressé sur la détente. Le dossier sera classé dans les archives nationales et inconsultable jusqu’en 2029 !!! En 1991, une révision du procès effectuée par la télévision américaine était sans appel. A la grande majorité, Ray était non coupable. En 2000, une nouvelle enquête gouvernementale statue sur la culpabilité de Ray, indiquant qu’il a bien agi seul !!! Nouvelle contradiction ! Si bien que dans cette affaire, non seulement, les voiles n’ont pas été levés, mais en plus les commissions d’enquête ne sont pas d’accord entre elles… !
Peut-être saura-t-on enfin en 2029 la véritable histoire de l’assassinat de Martin Luther King. Cela dit, une chose est sure, on ne peut que tristement retenir le manque de clarté et de transparence qui plane sur ce meurtre et les probables manipulations qui ont pu s’effectuer en toute impunité.

POISSON D'AVRIL

Cette tradition trouverait son origine en France en 1564. La légende veut que jusqu’alors, l’année aurait commencé au 1er avril, mais le roi de France, Charles IX, décida que l’année débuterait le 1er janvier. Si l’origine exacte de l’utilisation des poissons reste obscure, selon la légende, plusieurs de ses sujets se sont rebiffés à l’idée qu’on leur chamboule le calendrier, et ils continuèrent à célébrer les environs du 1er avril.


Pour se payer gentiment leur tête, des congénères profitèrent de l’occasion pour leur remettre de faux cadeaux et leur jouer des tours pendables. Les cadeaux que l’on s’offrait en avril étaient le plus souvent alimentaires. Cette date étant à la fin du carême, période durant laquelle la consommation de viande est interdite chez les chrétiens, le poisson était le présent le plus fréquent. Lorsque les blagues se développèrent, l’un des pièges les plus courants était l’offrande de faux poissons.


Ainsi naquit le fameux poisson d’avril, le jour des fous, le jour de ceux qui n’acceptent pas la réalité ou la voient autrement. En France, au début du XXème siècle, on s’envoyait de jolies cartes postales richement décorées et tout ornées d’un poisson d’avril.

BOUHAMOU : C’est la moutarde des champs ou sanve (Sinapis arvensis).

C’est une plante annuelle herbacée, placée souvent dans les mauvaises herbes (adventices), envahissant champs et jardins.


Cette moutarde est une plante velue-hérissée de 30 à 80 cm de hauteur.
Elle se rencontre en plaine et en montagne, dans les champs et aux bords des chemins, dans les terrains vagues mais principalement dans les lieux cultivés calcaires.



Les jeunes plantes peuvent être consommées. Les graines une fois moulues peuvent donner une sorte de moutarde. C'est une adventice qui peut poser des problèmes dans notre région.


Ce chat Sphynx et cette souris blanche ont l'air très amis !



L'urginée maritime ou la scille ou Anssel ou Ounsal ou Bsal ed dîb (oignon de chacal) ou Bsal el far (oignon de rat).

C’est une plante vivace à gros bulbe (5 à 15 cm) dont les feuilles apparaissent après les premières pluies automnales, alors que la floraison a eu lieu l'été précédent.


Les feuilles glabres sont longues, dressées et larges de 2 à 10 cm. La hampe florale, simple, peut atteindre 1,50 m et porte une longue grappe dense de fleurs. Fleurs à 6 tépales blancs et nervure dorsale colorée.


Il s’agit d’une plante toxique responsable d'empoisonnements graves, dont la manipulation irrite la peau. On trouve ses bulbes à l'étalage des herboristes car les femmes s'en servent comme abortif en fumigation vulvaire. Pour les uns, elle est aphrodisiaque; pour les autres, cuite dans le couscous, elle détruirait chez le mari ses amours illégitimes. L' urginée fraîche est employée comme diurétique et contre la toux. Elle est aussi connue pour ses propriétés raticides.

Les marchands ambulants omniprésents au Maroc appelés Moul carrossa.


Pour ces commerçants non officiels, qui vendent leurs poissons, leurs légumes, leurs fruits, leurs vêtements et d'autres articles à même le sol ou dans des caddies, la vie est loin d'être facile.


Ils passent leurs journées à espérer un revenu décent et à craindre que leurs marchandises ne soient confisquées par les Forces auxiliaires.


Illettrés, diplômés, jeunes et vieux, hommes et femmes – tous s'adonnent à une profession qui leur rapporte seulement une poignée de dirhams par jour.


Ils sont en effet nombreux à espérer que les autorités construisent des centres commerciaux dans des emplacements réservés et les louent à des prix raisonnables, de manière à légaliser cette activité informelle.

Histoire de l’introduction et de la diffusion de l’oléiculture au Maroc

La culture de l’olivier a été introduite par voie de mer à partir de l’Est de la Méditerranée ou de la Bétique voisine et s’est développée du premier au troisième siècle dans la région Tingitane autour de Volubilis, Lixus et Tinjis. Sa propagation vers Fès est supposée pendant le règne des Idrissides. Sa diffusion vers Marrakech et Tlemcen est attestée pendant la période Almohades. L’examen des textes arabes du XVIIe siècle montre une spécialisation régionale en matière d’arboriculture fruitière au Maroc. Dans le Souss, le palmier dattier, la vigne, l’amandier et le grenadier dominent. Sidjilmassa parait comme une région de prédilection du palmier dattier. Marrakech est plutôt réputée pour son oléiculture. Au Nord, chez les Meklâta de Zerhoun, les Fâzâz, et les Ghomaras du Rif c’est surtout le figuier, l’olivier et la vigne qui dominent le paysage arboricole. L’extension de l’oléiculture dans le Souss, Draâ et Tafilalt parait être tardive pendant le règne des Alaouites qui semblent l’avoir favorisée suite à la décadence que connaissait la culture de la canne à sucre et à l’augmentation du prix de l’huile d’olive espagnole. La dépendance du Maroc envers l’importation d’huile d’olive espagnole est signalée par Picard (2003) et Vanacker (1973). Contrairement à la Tunisie, les exportations d’huile d’olive sont rarement et irrégulièrement signalées. Sa rareté fait que son exportation fût souvent interdite ou soumise à des droits d’exports élevés. La consommation et les disponibilités des huiles d’argan et de l’huile d’olive au Maroc a connu des variations importantes au cours de l’histoire. En 1830, la forêt d’arganier pouvait assurer environ 90% de la consommation d’huile tandis que l’huile d’olive ne pouvait en assurer que 10%. Depuis 1930, l’huile d’argan perd sa position structurante dans la couverture des besoins en huiles végétales alimentaires fluides. Sa contribution qui était importante est actuellement négligeable. La contribution des huiles de graines à la satisfaction des besoins en huile va augmenter rapidement de 25% en 1934 à 80% en 2007. Cette augmentation est due à l’effet conjugué des prix compétitifs en faveur de l’huile de graine, d’une croissance démographique, d’une augmentation de la consommation en huile par capita  ainsi que des efforts des plantations oléicoles qui n’ont pas pu y pallier. Depuis le XIXe siècle, l’huile d’olive et d’argan deviennent des marchandises d’export irrégulier vers l’Europe, ce qui a poussé à une diffusion lente de l’olivier. La diffusion de l’olivier a été intensifiée sous le Protectorat et depuis l’Indépendance bénéficiant non seulement de la création de nouveaux périmètres irrigués, de l’adoption de techniques de multiplication intensives en pépinière (la technique de semis greffage et la technique de bouturage semi ligneux), et de l’augmentation de la capacité de trituration par l’adoption de presses mécaniques, mais aussi de facteurs économiques et politiques (Code des Investissements Agricoles, Discours royal de 1986, Plan National Oléicole, Plan Maroc Vert). De plus, la plasticité de la Picholine marocaine, son adaptabilité aux différentes conditions environnementales des régions oléicoles, son aptitude à un double usage (huile - table), la qualité de son huile qui ne fige pas à température basse, ont contribué à sa diffusion massive et sélective depuis le Protectorat et après l’Indépendance. L’importance de la dimension historique de la diffusion de l’oléiculture au Maroc dans des régions ayant une grande diversité agro-écologique et peuplées par des populations ayant des savoir-faire pour la culture de l’olivier, le stockage des olives et la trituration des huiles très diversifiées expliquent la diversification des huiles produites au Maroc malgré l’utilisation d’une variété dominante, la Picholine marocaine, un peu partout dans le Royaume. La typicité et la spécificité de l’huile obtenue dans chaque région restent le résultat conjugué de l’influence de ces facteurs culturels et édaphiques.

Qui se souvient de ces fleurs mauves ou lavande à feuilles découpées ou HALHAL dans la région d’Ain Défali ?


Recommandée jadis de boire matin et soir une décoction de la plante en cas de problèmes hépatiques.


C’est une plante vivace buissonnante, aromatique à feuilles finement découpées, des fleurs bleues en épi de 2 à 3 cm. Chaque épi se compose de 4 rangs spiralés de boutons parmi lesquels on trouve une ou deux fleurs épanouies.


Le Ginkgo Biloba, l’arbre de l’éternelle jeunesse.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le 6 août 1945, une bombe atomique a été lâchée sur Hiroshima par les Américains.




Les plantes et les arbres dans la zone autour de l'épicentre ont été examinés en septembre 1945. Le Ginkgo situé près d'un temple à environ 1 kilomètre de l’épicentre semble avoir été le premier arbre à bourgeonner après l’explosion lors du printemps 1946, sans aucune déformation majeure (le temple lui-même ayant été détruit ).



Ce Ginkgo, symbole de vie et de renouveau, fut intégré dans l'escalier d'accès lors de la reconstruction du temple (l'escalier se présente sous forme d'un U, protégeant le Ginkgo ). Depuis, de nombreuses études ont montré que le Ginkgo présente une grande résistance aux agents mutagènes, comme les radiations.
Six Ginkgos ayant subi un bombardement atomique sont encore vivants.


Les médecines alternatives orientales utilisent les feuilles du ginkgo biloba depuis des millénaires.
En particulier, du fait de ses effets vasodilatateurs, pour traiter les problèmes de circulation capillaires et les insuffisances veineuses.
C’est pourquoi il est utilisé en phytothérapie contre les varices, les hémorroïdes et les problèmes de jambes lourdes.
En particulier, la prise de ginkgo biloba est recommandée en cas de troubles circulatoires liés à l’utilisation de pilules contraceptives.
Riche en flavonoïdes, l’extrait de feuilles de ginkgo biloba, a de puissantes propriétés anti-oxydantes contre les radicaux libres.
C’est pourquoi il est préconisé pour traiter les problèmes de mémoire et de sénilité même si ses effets contre la maladie d’Alzheimer n’ont pas été démontrés.
Mais il constitue une aide naturelle et précieuse pour maintenir vigilance et vitalité de l’esprit et contribue grandement à protéger les yeux et l’acuité visuelle des conséquences du vieillissement. Enfin, il permettrait aux victimes du syndrome de Raynaud de lutter contre le froid.

La méduse est immortelle : C'est un animal marin au corps transparent et mou, d'apparence gélatineuse, en forme d'ombrelle.


L’immortalité : un rêve que l’être humain n’atteindra jamais, contrairement aux méduses de l’espèce « Turritopsis Nutricola », la seule espèce animale pluricellulaire connue qui ne meurt littéralement jamais.

En effet, cette méduse serait capable de remonter le temps, passant d'une phase de vie avancée à une phase de vie plus jeune.


Les nutricula de Turritopsis pourraient être les seuls animaux dans le monde à avoir découvert le secret d'une jeunesse et d'une vie éternelle, une véritable avancée dans le monde scientifique. Cette méduse serait ainsi capable de se rajeunir, une fois une certaine phase de vie dépassée, ne donnant ainsi aucune limite à leur durée de vie. La méduse est la seule et unique animal dans le monde à pouvoir inverser son vieillissement pour revenir dans le temps et régénérer sa structure entière afin de revenir à l'état de sa première phase de vie. Ce processus s'expliquerait notamment par le phénomène de trans-différentiation. La méduse nutricula de Turritopsis a la particularité de régénérer l'ensemble de son corps, et cela de façon infinie. Évoluant souvent en eaux profondes, et puisqu'elles ne peuvent peu ou pas mourir, ces méduses sont en train de développer leur présence dans les eaux du monde entier, et non plus seulement dans les eaux des Caraïbes où elles étaient à l'origine.

Le volcan qui contribua à déclencher la Révolution française.

En juin 1783 eut lieu l’une des éruptions volcaniques les plus importantes de l’histoire.

 

Un volcan islandais, le Laki, projeta d’énormes quantités de poussières et de gaz dans l’atmosphère pendant plusieurs mois.

 

Des nuages de fumée se diffusèrent sur l’Europe, masquant en partie les rayons du Soleil et provoquant un refroidissement dans tout l’hémisphère nord.


Le climat se dérégla pendant plusieurs années : hivers exceptionnellement froids, sécheresses, orages de grêle très violents.

 
 

Ces évènements climatiques extrêmes contribuèrent de manière significative à la pauvreté et à la famine, qui furent l’une des causes de la Révolution française en 1789.
 
 Le Laki