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Notre ville voisine : HAD KOURT.

Had Kourt (en arabe : حد كورت) tire son nom d'une montagne "Jbel Kourt" située à environ 5 km de la ville, au pied de laquelle coule une source d'eau pure "Ain Ouazzif" et dont le sommet présente une grotte (site archéologique important, lieu de découverte de contours de pieds) avec une vue extraordinaire sur toute la région. Distante d’Ain Défali de 23 kilomètres, il s’agit d’une ville de la province de Sidi Kacem et de la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen.

Le Folklore d'Had kourt  :



Ses principaux douars sont :

Oulad Aguil - 2 km
Ouled Afuil - 2 km
Al Habbarat - 2 km
Hebbarate el Yhoudi - 2 km
Oulad Ben Yahia - 2 km
Ouled Ali - 2 km
Ben Yehia Foukia - 2 km
Oulad Mahdi - 3 km
Al 'Ayach - 4 km


Les environs de Had Kourt en images :





Le Saint Soufi Sidi El Hadi Ben Aissa ou Sidi M’hammed Ben Aïssa ou Moula Meknasse est surnommé Cheikh El Kamel.

Originaire de la tribu Fahd, Sidi El Hadi Ben Aïssa, de son nom entier, Abou Abd-Allah M’hammed ben Aïssa Fehdi Soufiani Mokhtari est né en 1465, dans la région du Souss et mort à Meknès, vers 1523, soit l’an 933 de l’hégire. Il est plus connu sous le nom de Cheikh El Kamel, une appellation qui veut désigner un homme complet ou parfait. El Hadi Ben Aissa a vécu durant le règne des Ouatassides qui ont conquis la ville de Meknès au XVème siècle. Disciple de Sidi Ahmed Harthi à Meknès, il perfectionne son enseignement sur le jazoulisme à Marrakech auprès de Sidi Abd-el-Aziz Tebbaâ.

Il parcourait le Maroc, prêchant la doctrine islamique, et avait beaucoup de disciples, qui lui témoignaient obéissance et respect. Il a effectué des voyages canoniques en Orient, avant de professer à Fès et à Meknès où il fonde sa zaouïa. Ses adeptes dépassent largement les centres classiques du Aïssaouisme pour fleurir du nord au sud du Royaume, ainsi qu’en Algérie, en Tunisie, en Libye, au Caire, à La Mecque ou en Syrie... Ces zaouïas envoyaient encore au début du XXe siècle d’importantes délégations pendant le Moussem renommé pour ses fameuses Lilas. Le mausolée de Cheikh El Kamel, qui se situe à Bab Siba à Meknès, à 26 km au sud de Volubilis, est le cœur de la rencontre des Aîssaoua. Il fut édifié par le Sultan Sidi Mohamed Ben Abdellah en 1776. Ce bel et superbe édifice, qui fut restauré et embelli, se signale à l’attention des visiteurs. Le tombeau de Cheïkh El Kamel est devenu le lieu annuel de pèlerinage de milliers de fervents des Aîssaoua, qui considèrent le Mouloud comme un passage de l’obscurité à la lumière.

La cité Ismaïlite, Meknès, abrite la zaouia des Aissaouas où est enterré le saint surnommé Cheikh El Kamel, de son vrai nom Sidi El Hadi Ben Aïssa, symbole de délivrance pour des milliers de fidèles qui viennent se recueillir dans ce lieu saint spécialement durant la fête du Mouloud.

La fête du Mouloud, anniversaire de la naissance du Prophète Sidna Mohammed, revêt un caractère particulier à Meknès. C’est l’occasion où les Aîssaoua de tous les coins du Maroc et même d’Algérie, de Tunisie et de Libye, se rassemblent autour du mausolée du cheikh, lieu du pèlerinage. A cette occasion, de nombreuses processions et diverses manifestations religieuses, musicales, folkloriques et commerciales sont organisées dans les parages du mausolée de Cheikh El-Kamel et à travers toute la ville de Meknès. Cette tradition réunit des centaines de milliers de fidèles, aussi bien de la confrérie des Aissaouas que d’autres confréries religieuses, qui accomplissent en groupe les rites de la Zyara (visite) du mausolée du Cheikh et se livrent durant toute la période du Moussem, à de longues nuits de musiques et de danses processionnaires. Les Aîssaoua donnent libre cours à leurs expressions corporelles qui se transforment en transe. A la fin, ils se dirigent vers le mausolée avec les offrandes destinées au Cheikh El Kamel, tout en murmurant des voeux. La légende raconte qu’à la mort du Cheikh, l’un de ses disciples, en état de choc, entra en transe, lacéra ses vêtements et dévora même un mouton cru. Ceci est à l’origine des deux pratiques spécifiques aux Aîssaoua. La «hadra», pratique collective de la transe, et la «frissa», qui consiste à dévorer un animal vivant. Les Aîssaoua peuvent également se rendre à domicile la nuit pour célébrer la lila. Cette danse qui commence après la dernière prière du soir et se termine à l’aube est l’occasion pour les Aîssaouas de danser, de se purifier, de pleurer, de rire et de se soigner. Nombreuses sont les personnes qui participent à cette pratique, notamment les femmes qui veulent célébrer un événement heureux, résoudre un problème ou encore invoquer la bénédiction du Cheikh.

Moulay Abdeslam Ben Mchich Alami, un auguste soufi, descendant de la dynastie idrisside.

Abdeslam Ben Mchich Alami (عبد السلام بن مشيش العلمي) est un saint soufi (1163 - 1228 soit 559-626 de l'hégire), originaire de Jbel Laâlam dans la région de Béni Arouss au Maroc. Du XIIe siècle jusqu'au XIIIe siècle, il se retira à jbel Laâlam au sud de Tanger où est situé actuellement son mausolée modeste de forme carrée construit en pierres et briques et blanchi à la chaux lui offrant un cachet rustique, et couvert des branchages d’un arbre centenaire.
Il est estimé comme étant l’initiateur de plusieurs maîtres du soufisme et parmi eux le très célèbre Alime Al Chadila. Peu de choses sont connues sur la vie de ce personnage.




Moulay Abdeslam ben Mchich Alami est de descendance Idrisside (descendant d’Al Hassan).
Quand Moulay Abdeslam est arrivé à l’âge d’apprendre, son père le fit entrer dans une école coranique. A l’âge de 12 ans, il a déjà appris le Coran dans sept versions phonétiques du saint vertueux Sidi Salim enterré dans la tribu Béni Youssouf. On rapporte également que parmi ses maîtres en matière de sciences religieuses, figure le vertueux faqih al-haj Ahmad sit Aqatrân enterré à proximité du village Aburj dans la tribu des Akhmâs, non loin de Bab Taza. Il a reçu de lui les sciences juridiques selon la moudawana, vulgarisant la doctrine malikite. Il a eu trois autres maîtres dans l’apprentissage du Coran, son frère Al-Haj Mûsa al Ridâ, le cheikh Muhammad ibn Ali al-Misbahi et al-Hasan al-Dawâlî enterré à la grande mosquée de Ouezzane. Quant à son initiation spirituelle, elle fut l’œuvre de Abd al-Rahman al-Madanî al-Hassanî surnommé al-Zayyât.
Les maîtres du soufisme considéraient Moulay Abdessalam comme leur initiateur. Sur le plan local, les Jbalas lui dédient une dévotion toute spéciale et le considèrent comme le protecteur de leur pays ce qui lui vaut le titre posthume de «Cheikh Jbala». La tombe où il est supposé reposer est aujourd’hui l’un des grands lieux de pèlerinage où affluent des centaines d’adeptes au mois de juillet de chaque année. C’est un moment d’intense recueillement religieux mais aussi l’occasion de faire la fête avec de la musique, des danses soufies ainsi que des fantasias.




Les enseignements de Moulay Abdessalam Benmchich Al Alami ont formé les bases de plusieurs écoles ou voies du soufisme et, de nos jours, ses disciples continuent d’en diffuser les principes. Il méditait et priait au sommet de sa montagne. C’est aussi là qu’il mourut. De là haut, il pouvait veiller d’un simple coup d’œil sur toute la région.
Pendant la décadence almohade, Ibn Abî Al-Taouâjin qui était le gouverneur du sultan Yahya al-Mutasim, s’est déclaré prophète et a vu en Moulay Abdessalam Benmchich un ennemi, et dans son activisme un sérieux obstacle à ses projets. Il l’a fait assassiner non loin de la source où il avait l’habitude de faire ses ablutions.
Il y a eu parmi ses descendants et ceux de ses frères et oncles un nombre incalculable de savants confirmés qui se sont arrêtés aux limites de ce qui a été rapporté à son sujet, et ils n’ont consigné que ce qui revient à sa généalogie, à sa voie, à ses vestiges à Jbel Alam, à sa tombe, aux circonstances de son assassinat, au désaccord sur la date de sa mort, et à ce qui a été rapporté par ceux qui ont fait connaître son disciple, le pôle Abû-l-Hasan al-Shâdili, concernant ses conseils et ses dires. Quant à sa prière authentifiée et connue dans toutes les régions du monde, la beauté de sa rhétorique frise l’inimitable, et tous ceux qui la récitent témoignent de ses effets bienfaisants.

Le "Hanji", le papier traditionnel coréen.

Le hanji fait partie intégrante de la vie des Coréens depuis leur naissance jusqu’à leur mort. Fleuron de l’artisanat du Pays du matin calme, ce papier traditionnel à l’histoire millénaire, d’une qualité réputée exceptionnelle, reste pourtant quasiment inconnu à l’étranger.
Le papier hanji est fabriqué avec la fibre que l'on trouve dans l'écorce du mûrier. Il est ensuite teinté à l'aide de colorants naturels (provenant de plantes) ou artificiels. La structure d'un objet ou d'un meuble est faite de carton ou de bois (le plus souvent du bois de paulownia ou du bois de pin). Le meuble ou l'objet est ensuite décoré par application de papier hanji coloré. Chaque feuille de papier hanji de la couleur choisie est découpée pour former les motifs de la décoration qui sont ensuite collés sur l'objet. Enfin, un vernis est appliqué pour protéger le papier hanji de l'usure et de l'humidité. Autrefois, on utilisait de l'huile (de sésame, de pignon ou de camélia) à la place du vernis pour protéger le papier contre les insectes et les moisissures.




Moulay Bouchta Al-Khammar.


Le sanctuaire Moulay Bouchta Al-Khammar est situé à proximité de la montagne d'Amargou entre les oueds Ouargha et Sebou dans la tribu de Fechtala, relevant du cercle de Karia Ba Mohammed (province de Taounate), à 75 km de la ville de Fès et 80 km du centre de Taounate.

 


Moulay Bouchta Al-Khammar ou bien Haj M'hammed Ben Moussa Ben Abdallah Ben Ahmed, descendant des chorfas Idrissides, est un érudit du 16e siècle ayant étudié à Marrakech puis à l'université Al Qaraouyine de Fès, avant de s'installer au sein de la tribu de Fechtala dans le but d'enseigner les préceptes de l'Islam. Natif de la tribu de Ouled Saïd, dans la région de Chaouia, Moulay Bouchta Al-Khammar est décédé le mercredi 11 Chaoual 997 de l'Hégire, correspondant au 20 novembre 1588. Organisé par les chorfas Saffyines durant les mois de septembre ou octobre de chaque année, le Moussem de Moulay Bouchta Al-Khammar est l'un des plus importants rendez-vous religieux de la province. Son cachet religieux, traditionnel et touristique attire de nombreux visiteurs des quatre coins du Royaume.



Tous mes voeux pour cette nouvelle année 2010.

A tous mes chers amis.



Que cette nouvelle année vous apporte la réussite. Que les difficultés de cette année nouvelle vous soient épargnées et que le bonheur soit au galop tout au long de l'année dans vos coeurs et dans ceux de vos proches.


Bonne et


2010.


Après sa création en 1929 par la société française St. Louis : Cosumar fête ses 80 ans à Méchra Belksiri

Les sucriers SUNABEL et SURAC ont fêté, mercredi à Mechraâ Bel Ksiri, les 80 ans d'existence de la COSUMAR sous le signe "Des décennies d'engagement et de confiance mutuelle" en présence de plusieurs invités.


En 1929 naissait la COSUMA, raffinerie de Casablanca, créée par la Société française St Louis de Marseille. L'entreprise produisait alors 100 T de sucre par jour, exclusivement sous la forme de pains de sucre. En 1967, l'Etat marocain acquiert 50% de son capital et COSUMA devient la Société marocaine COSUMAR.


Dix ans plus tard, en 1985, le Groupe ONA prend le contrôle du capital de COSUMAR. 

Depuis, COSUMAR va connaître un développement important en acquérant en 1993, les sucreries de Zemamra et de Sidi Bennour et, en 2005, les quatre Sociétés sucrières nationales, Sunabel, Surac, Suta, et Sucrafor, devenant ainsi l'unique opérateur industriel sucrier national.
Le groupe, qui affichait en 2007 un chiffre d'affaires de 5,4 milliards de DH, dispose aujourd'hui de 11 sites industriels, compte 2500 collaborateurs, 80.000 agriculteurs producteurs de betterave et de canne à sucre et 10 millions de journées saisonniers par an et produit plus d'un million de tonnes de sucre par an.
La cérémonie de célébration a été marquée par l'organisation d'une table ronde sur les efforts des Sociétés SONABEL et SURAC pour développer et moderniser leurs unités de production et sur la politique d'incitation et d'accompagnement des agriculteurs, que le PDG de la SUNABEL, Mohamed Fikrat a qualifiés de partenaires stratégiques.
L'usine de Bel Ksiri a investi 50 millions de DH pour passer de la production du sucre brut au sucre blanc et les responsables de la SONABEL et de la SURAC prévoient une augmentation de 45 à 55 % des cultures sucrières dans la région du Ghrab et du Loukkos.


Des documentaires ont été aussi projetés mettant à contribution des universitaires et des historiens marocains pour parler de l'histoire de la transformation et de la fabrication du sucre au Maroc. Selon le Pr. Abdelhadi Tazi, membre de l'Académie du Royaume, la reine Elizabeth 1ère d'Angleterre demandait à ses cuisiniers de n'utiliser que le sucre marocain. Les plantations de canne à sucre étaient surtout concentrées dans le Sud du Royaume. Des fabriques artisanales exploitaient alors la canne à sucre dans les régions du Souss et de Chichaoua. Mais c'est en 1929, que sa production s'industrialise avec l'ouverture de la première raffinerie Casablanca, COSUMA.

Noël approche, le père Noël revient.


Je souhaite à tous mes amis un joyeux et heureux noël, plein de santé et de bonheur.




Froehliche Weihnachten
Merry Christmas
Frohe Weihnachten
Zalig Kerstfeest , Joyeux Noël
Jwaïeu Nouel
Jénwèl
Chestita Koleda
Mutlu yillar et Kala Christouyenna
Glaedelig Jul
Nollaig Chridheil
Feliz Navidad
Roomsaid Joulu Puhi
Iloista Joulua ou Huyvä Joulua
Joyeux Noël
Kala Christouyenna


Vroolijk Kerfeest
Kellemes karacsonyi unnepeket
Nodlaig mhaith chugnat
Gleðileg Jól
Buone Feste Natalizie, Buon Natale
Priecigus Ziemassvetkus
Linksmu Kaledu, su Kaledoms
Schéi Chrëschtdeeg Joyeux Noël
Il Milied it-tajjeb
Bòn nové
Gledelig Jul
Wesolych Swiat
Boas Festas
Veselé vanoce
Sarbatori vesele, un Crãciun fericit
Veselé Vianoce
Vesel božic / vesele božicne praznike
God Yul
Fröhlichi Wiehnacht, Joyeux Noël
Mutlu yillar


Voilà de quoi faire une bonne purée : une énorme pomme de terre pesant près de 11,3 kg.

Il y a quelques jours, un agriculteur libanais a eu la surprise de trouver dans son champ une énorme pomme de terre pesant près de 11,3 kg, ce qui représente environ la taille de 3 têtes humaines !
L’agriculteur affirme n’avoir jamais utilisé d’ingrédient chimique pour qu’elle atteigne ce poids. Du coup très fier de sa découverte il envisage de faire une demande auprès du Guiness book des records.

La plus grosse femme du monde accouche.

La britannique Leanne Salt, la femme la plus grosse du monde, a donné naissance à des triplés. L’accouchement ne fut pas un travail de routine. En effet, une équipe de 68 personnes a aidé à mettre au monde les bébés. Ses 230 kilos représentaient un risque pour Leanne et ses bébés. Avec son poids, accoucher d’un seul enfant était déjà risqué...



L’équipe présente autour du lit de la maman rassemblait, entre autres, 5 accoucheuses, 4 chirurgiens, 12 consultants post-cure, 6 anesthésistes et un grand nombre d’infirmières. Le miracle a eu lieu et Leanne a donné la vie à deux filles, Deanna (1,930 kg) et Daisy (1,843 kg) ainsi qu’à un garçon Finlee (2,552 kg). Comme la mère, les enfants sont en bonne santé.

Vol d'une grille de fer forgé, de 5 mètres de long, du camp d'extermination d'Auschwitz, portant l'inscription en allemand "Arbeit macht frei".

Il s'agit d'une enseigne métallique, portant la triste et célèbre inscription en allemand (Arbeit macht frei) c'est à dire (Le travail rend libre), qui ornait le portail d'entrée de l'ancien camp d'extermination d'Auschwitz, dans le sud de la Pologne, premier lieu de mémoire du génocide juif entrepris par l'Allemagne nazie durant la Seconde Guerre mondiale. Symbole connu dans le monde entier du cynisme des bourreaux hitlériens et du martyre de leurs victimes, elle a été dérobée hier, vendredi 18 décembre 2009, par des inconnus.Ce panneau métallique avait pour objet de faire croire aux détenus qui arrivaient à Auschwitz qu'ils entraient dans un camp de travail et non d'extermination.

  L'Allemagne nazie a exterminé de 1940 à 1945 à Auschwitz-Birkenau environ 1,1 million de personnes, dont un million de juifs. Les autres victimes de ce camp furent surtout des Polonais non juifs, des Roms et des prisonniers soviétiques. Ce camp, également connu sous le nom de "Auschwitz II", abritait des chambres à gaz. Le camp a été libéré par l'armée soviétique en janvier 1945. Les nazis ont détruit nombre d'installations en prenant la fuite. Sur 191 hectares, le site compte 155 bâtiments et plus de 300 ruines.

Le monde musulman célébre le nouvel an musulman : Le 1er Moharram de l'an 1431 de l'hégire célébré vendredi 18 décembre 2009.



Aujourd'hui, le maroc célèbre le 1er Moharram de la nouvelle année de l'hégire 1431.
C’est le calife Omar (634-644) le deuxiéme aprés la mort du prophéte qui instaura le calendrier musulman, en prenant comme point de départ l’exil de Mohammed fuyant la Mecque vers Médine.



Je vous souhaite à toutes et à tous, une très bonne et heureuse année pleine de santé, de bonheur et de prospérité.

Encore une autre grippe, la fièvre Q, maladie infectieuse très contagieuse.

La fièvre Q ou coxiellose est une zoonose, causée par une bactérie appelée Coxiella burnetii.


La bactérie vit en infectant la plupart des mammifères domestiques (bovins, ovins, buffles, caprins, chevaux, chameaux, chiens, chats, lapins) et sauvages (cervidés, ours, renards, marsupiaux, rongeurs) mais également les oiseaux domestiques (poules, dindes, oies, canard...) ou sauvages (pigeons)


Coxiella burnetii est également retrouvée dans de nombreuses espèces de tiques, les poux ainsi que les amibes. Les animaux éliminent le microorganisme en grand nombre dans les urines, les selles, le lait et plus spécialement dans les produits de mise bas (placenta, liquide placentaire) et d'avortements. Par ailleurs, la bactérie est présente dans le lait après l'accouchement. L'homme contracte la maladie le plus souvent par inhalation d'aérosols infectés par Coxiella burnetii. La bactérie peut être disséminée par le vent, si bien que la maladie peut survenir chez des sujets qui n'ont aucun contact direct évident avec les animaux.


La fièvre Q est classiquement une maladie liée aux activités professionnelles. Les sujets à risque « classiques » sont donc ceux en contact avec des animaux, et en particulier les éleveurs, les ouvriers d'abattoirs, les vétérinaires et le personnel de laboratoire.
La manifestation la plus répandue est un syndrome grippal avec un début brusque, fièvre, malaise, maux de tête violents, myalgies (douleurs des muscles), perte d'appétit, toux sèche, douleur pleurétique, frissons, confusion et symptômes gastro-intestinaux à type de nausées, vomissements et diarrhée. La fièvre dure approximativement 7 à 14 jours. L’antibiothérapie est très efficace sur la fièvre Q pendant la phase aigue. A l'heure actuelle, il existe un vaccin humain (Q-vax).

Le mariage est-il bon pour la santé ?


Le mariage est bon pour la santé mentale des deux sexes car il réduit le risque de dépression et d'anxiété.
La fin d’un mariage, que ce soit par un divorce ou la mort augmente les risques de troubles mentaux, comme l'abus de médicaments ou d'alcool chez les femmes et la dépression chez l'homme et dans ces cas les conséquences sont néfastes sur la santé des deux.

 

Les hommes sont moins exposés à la dépression au cours de leur premier mariage que les femmes, ce qui est due à la répartition traditionnelle des rôles au sein du foyer. Un mariage qui fonctionne bien serait l'un des facteurs permettant d'être en bonne santé à partir de cinquante ans.

Les Marocains sont de mauvais lecteurs.


 Les Marocains lisent peu. Triste constat, mais c'est une réalité. Ils ne sont pas de grands lecteurs. Lire des livres, romans et autres nouvelles ne fait pas partie des habitudes de nos concitoyens.
Par contre ces derniers ont un penchant pour les journaux et les magazines. Aux alentours du jardin de la ligue arabe, nombreux sont les personnes qui lisent des journaux. En revanche, personne ne tient dans sa main un livre ou un roman.
Au café du parc, toutes les tables sont occupées. Des jeunes ont les têtes dans des livres. Ils ne sont pas en train de lire par plaisir, mais par obligation, les rattrapages étant à leurs trousses. Nul besoin de déranger ou perturber la concentration des jeunes dans cette période.
Mais une personne semble être fatigué à force de réviser. En répondant à notre question sur ce que représente la lecture pour lui, il a répondu, «un mal de tête».
Décidément, les jeunes ont l'habitude de mélanger la lecture avec les études. Lorsque nous avons reposé la question, évoquant les motivations de la lecture. Notre jeune répond: «Une obligation pour les étudiants. Il faut lire, comprendre et apprendre par cœur les ouvrages de certains professeurs». Et de poursuivre : «Je ne lis pratiquement rien, sauf des journaux ou des magazines de mode ou de musique». De son côté, un autre jeune tient un quotidien alors que d'autres sont posés sur la table. Il a été en train de prendre des notes sur son carnet.
En guise de réponse à la même question, il a souligné son penchant pour la presse écrite. «Ma première source d'informations et d'actualités», précise-t-il. Il fait une étude sur les élections communales. En sa qualité de chercheur en sciences sociales, il a été enclin de faire des lectures sur le code des élections, découpage électoral, et les anciennes élections communales marocaines, afin de mener à bien son analyse. «Je ne lis que ce qu'il me faut pour mes recherches. Je trouve des difficultés à lire autre genre d'ouvrages que les écrits en sciences sociales. Par contre, je lis régulièrement la presse écrite», conclut-t-il.
Si selon plusieurs témoignages, la lecture est vécue comme une nécessité, en revanche, Abdellatif a un autre avis. Il affirme que la lecture est un pur plaisir. Elle est associée à la connaissance, à la culture générale, et au désire de développer son niveau d'instruction. Et d'ajouter : «C'est une fenêtre ouverte sur le monde et sur l'univers. L'amour de la lecture est incomparable».
Driss, son camarade, partage son enthousiasme. «La lecture est une satisfaction rare. C'est un outil pour armer sa personnalité, consolider son savoir, et un moyen inépuisable d'apprentissage et de connaissances», dit-il.
Quant à leurs préférences, les romans viennent en premier lieu, les magazines spécialisés, la poésie, le théâtre, les encyclopédies en second. Les journaux sont, quant à eux, de simples petits pains quotidiens pour les deux amis.

Bibliothèque : un lieu très fréquenté
A Casablanca, deux bibliothèques attirent le plus de lecteurs. Il s'agit de la Fondation Al Saoud et la bibilothèque de l'Institut Français. Cette dernière est plus fréquentée par de jeunes lecteurs. En revanche, la Fondation Al Saoud est réservée aux étudiants en cycles supérieurs.
C'est un vaste espace recelant des œuvres de très bonne qualité. «C'est ici que j'aime lire», explique Zakaria, étudiant en licence à la Faculté des sciences économiques, juridiques et sociales de Casablanca. «Ici, nous avons la possibilité d'avoir des ouvrages hors de notre pouvoir d'achat. Le calme et la bonne organisation offrent un espace propice à la recherche.
En plus, certains de mes professeurs viennent à ce lieu régulièrement», poursuit Zakaria.
La culture de la bibliothèque est présente chez certains étudiants. Mais nombreux sont ceux qui évoquent la contrainte du temps, et l'impossibilité d'emprunter les livres.

Pourquoi lit-on peu ? Absence de motivations, manque de temps, arrêt des études et travail sont les raisons avancées par les jeunes pour expliquer leur résistance aux "démons" de la lecture. Internet, télévision et autres chaines satellitaires représentent également d'autres raisons, également importantes, qui empêchent les gens de lire. Nombreux sont ceux qui souhaitent avoir des livres arabes intéressants, surtout dans le domaine de la santé, les voyages, la nature et la musique.
D'autres en outre, proposent, afin de développer la lecture, de revoir les prix des livres ainsi que la qualité des sujets traités. Ainsi, une grande majorité des Marocains ont invoqué le motif du prix pour lire plus. Un argument qui reste approximatif puisque l'on connaît, quand même, la possibilité de se procurer des livres très bon marché chez les bouquinistes, notamment à Derb Ghallef, Hay Hassani ou au marché de Bhayra à Casablanca.
Il est à rappeler que le Livre Sacré surclasse tous les autres types de livres. De manière générale, les livres religieux restent les plus lus.

Réchauffement de la terre : fonte de glace.

Le réchauffement de la terre augmente la vitesse de déplacement des glaces, ainsi,
un iceberg géant, de 140 km2, a été repéré par satellite ces dernières semaines à 1700 kilomètres au large des côtes australiennes.

Il est en train de se briser en milliers de petits morceaux de glace flottants, certains larges de plusieurs kilomètres, qui se sont éparpillés sur des centaines de kilomètres dans l'océan, constituant un danger pour la navigation dans la zone.