Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Bienvenue sur le site internet de la ville d'Ain défali .
Waterfall Restaurant
Ouezzane, la ville Zaouia
Les origines historiques de la ville de Ouazzane sont encore incertaines et confuses. D’après certaines versions, l’existence de la ville remonte à l’antiquité romaine, toutefois rien n’est attesté. La ville fait son entrée dans l’histoire avec l’arrivée du Saint Moulay Abdellah Chérif, le fondateur de la confrérie propre à cette ville Zaouia Ouazzania et ce au début du XVII ème siècle.
Dès lors, le bourg se mua peu à peu en une véritable agglomération urbaine avec des édifices religieux, les infrastructures économiques et sociaux, les constructions des demeures et les plantations de vergers. Cette agglomération ancienne porte le nom de Médina et qui est caractérisée par des spécificités propres. La première spécificité est flagrante pour tout visiteur : c’est une des rares villes anciennes à ne pas être cernée par des remparts. Il y a absence totale de murs crénelés et de portes fortifiées monumentales comme partout ailleurs au Maroc. Cette particularité réside sans doute dans l’histoire de la ville. La puissance de la confrérie ouazzania la mettait probablement à l’abri des menaces, de même le caractère sacré de la cité la rendait inviolable à leurs yeux.
Toutefois, il existe des portes qui sont associées aux murs extérieurs des demeures anciennes, ces portes qui permettaient de clore la médina à la manière d’une enceinte ne présentaient pas un système fortifié réellement définitif, mais elles sont un élément de tradition marocaine.
La première porte est connue sous le nom de Bab Fatha. C’est un arc simple en plein cintre surbaissé en briques cuites et pierres sèches. Elle daterait du VII ème siècle. La seconde porte est nommée Bab Jmouâa. Elle est constituée par un arc brisé outrepassé doublé par un arc lambrequins, les écoinçons sont ornés d’un riche motif géométrique sculpté et le tout est surmonté d’une console pilastre supportant un avant de tuiles vertes vernissées. Les passages couverts ou Sabats sont peu nombreux et constituent une spécificité de la cité. Ces éléments architecturaux sont constitués par une ou plusieurs pièces construites au niveau du premier étage d’une demeure et chevauchant la rue. Certains de des passages couverts sont supportés par une succession d’arcades et formant parfois des passages étroits et bas, voûtés et coudés. Dar-Skaf est le quartier le plus ancien de la médina. Il est le site du village original dans lequel se serait installé le fondateur de la confrérie ouazzanie Moulay Abdellah Chérif dont sa demeure subsiste encore. Ce quartier est associé à celui de Zaouia qui abrite la célèbre mosquée qui porte le nom du quartier et réputée par son minaret octogone. Ce quartier faisait le siège de la confrérie ouazzanie.
Le Cheikh actuel c’est-à-dire le chef de ladite confrérie y réside. Le bâtiment principal consiste en un vaste patio autour duquel une galerie à arcs brisés distribue quatre salles de mêmes dimensions ornées de portes et fenêtres et de somptueux plafonds de bois peints. La sobriété de la décoration et la majesté des proportions en font l’un des plus purs produits de l’architecture locale. Ce bâtiment ne devait servir que de résidence et de siège administratifs. Il abritait également un palais réservé à l’accueil des affiliés et des pèlerins. Outre ces deux quartiers, on évoque le quartier Mellah qui abritait la communauté juive. Ces quartiers, ensemble, présentent le cœur de la médina. Ils sont tous reliés à un centre commercial par excellence, où se sont regroupées les principales activités commerciales dont la plus spéciale est le commerce de la jellaba ouazzania. Les rues de ce centre, exclusivement réservées au négoce sont bordées de boutiques juxtaposées sans discontinuité et présentant un ensemble de constructions d’architecture homogène. Pour les événements sportifs, la course internationale de Ouazzane qui se déroule chaque année et qui rassemble des milliers d’athlètes dont plusieurs éléments de l’équipe nationale.
Qui a inventé la première voiture et quand ?
Bachelier à 11 ans
Distance qui sépare Ain défali de ses Douars.
1.50 km d' El Haricha
4.00 km de Aouifat
5.80 km du Douar Souhat
6.60 km de Slim
7.20 km d' El Amamra
8.00 km d' El Guedadra
8.70 km d' Es Sbaïne
7.2 km du Douar Oulad Salem
6.40 km du Douar Chaouiat Rmel
3,00 km d’El âamirat
2.40 km de Beni Sennana
4.60 km de Oulad Noual
5.80 km d' El Hajajma
9.60 km d'El Bour
7.20 km d' El Klaa
9.60 km d' El Aouaoucha
4,50 km de Bougdour
2,5 km d’Ain Ouajda
4,00 km d’El kraness
3.60 km de Khobziine
4.90 km de Doukkane
5.90 km d' El Hasba
2,00 Km de Hjafna
6.80 km de Oulad Ktir
10 km du Douar Chaouia
9.60 km de Chouaker
4,00 km d’Ain El Kbir
Hébergement.
RESPECTEZ LES HABITANTS D’AIN DEFALI, ILS VOUS RESPECTERONT.
Santé et Sécurité.
Attention au soleil, aux différentes allergies (guêpes, abeilles, henné etc…) et aux reptiles (les scorpions, les araîgnées, les serpents, etc …). N’approchez jamais de chiens errants ou domestiques.
Le centre de santé est médicalisé et prend en charge tous les cas médicaux et les accouchements normaux. Une ambulance est prête pour les évacuations des malades selon leur désir vers des centres spécialisés des villes avoisinantes.
Gastronomie.
Ain Défali est très connue pour ses plats traditionnels (tagines, couscous, harira, baissara, kefta, etc…).
La harira est la soupe nationale. Pendant les 30 jours du mois de Ramadan, chaque maison prépare ce potage parfumé, imprégnant les rues de son odeur à l'heure du coucher du soleil.
Origine des Tribus Marocaines.
Bien que la tribu soit officiellement remplacée par la commune rurale, qui est le premier maillage administratif de la société marocaine, elle n'en constitue pas moins le cadre naturel de la vie rurale. En effet la tribu a été, durant des siècles, le centre de la vie politique, économique et sociale au Maroc.
La tribu est un groupement humain de plusieurs familles, ayant un ancêtre éponyme commun ou pas, sous l'autorité d'un chef et sur un territoire donné.
A la différence du système féodale européen basé sur la seignurie (la terre est la proprièté exclusive du seigneur), le système tribal est plus équitable dans la mesure où chaque tribu possède son propre territoire réparti en propriètés collectives ou privés. Afin d'avoir le droit de pâturage ou de passage sur un territoire, l'accord en amont de la tribu concernée est indispensable et le paiement d'un tribut peut être exigé (Mzrag chez la tribu Zemmour).
Les chefs des tribus jurant fidélité
au sultan Moulay Hassan Ier, 1892
Les chefs des tribus jurant fidélité au sultan Moulay Hassan Ier, 1892 |
Les tribus marocaines se divisent en deux catégories:
- I- Les tribus d'origine berbère
1-Tribus BATRE: Drissa, Adassa, Louata, Nfzaoua et Nfousa.
2-Tribus BRANES: Azdaja, Aouraba, Ourdugha, Ketama, Masmouda, Sanhaja et Aguissa - II- Les tribus d'origine arabe :
1-La nation Bani Hilal: Athbedj, Jashame, Riyah et Zughba.
Les bani Hilal sont des tribus bédouines, passées d'Arabie en Egypte vers le Xe siècle; pour s'en débarrasser, un calife fatimide du Caire les avait lancées sur l'Ifriqiya (Tunisie) révoltée.
Au XIe et au XIIe siècle le calif Almohade Abd El-Moumen avait dù les mater et les transplanta plusieurs d'entre elles jusqu'au Maroc:Khlout et Sefyan dans le Gharb, Beni Amir et Beni Moussa dans le Tadla, c'est qu'il avait besoin des soldats pour la guerre en Espagne.
2-La nation Bani Mâaqil: Ce sont des tribus bédouines originaire d'arabie du Sud (Yemen), elles sont arrivées au Maroc entre le XIIIe et le XVe siècle en suivant la lisière nord du Sahara, certains obliquèrent vers le Sud, d'autres remontèrent vers le nord, comme Zaër et les Beni Ahsen du Gharb.
- Atalibat, résident en Algérie
- Dou Hassan, au début, ils se sont installer sur les rives de Oued Malouiya, puis à l'époque des Almohades, ils ont répondu à l'appelle du jihade et se sont installer à Souss, aujourd'huit ils sont entre Rio de Oro (Oued Edahabe) et Changuite en Mauritanie.
- Daoui Mansour, entre Drâa et Maouiya.
- Dou Abdallah, entre Telimsane, Oujda (comme Angade) et Oued Za.
- Reqaitate, à Souss et aux alentours de Taroudante.
- Chabanate, aujourd'huit dans la tribu Chrarda; les sultans Alaouites les ont poussé de Marrakech vers Sidi Kacem.
- Bani Tabet.
- Ouled Ali.
3- La nation Bani Sulaym-: Cette tribu est originaire de Nejd en arabie, ils ont immigrées en
Les chefs des tribus, les dignitaires du pays et les représentants du peuple,
Le Folklore d'Ain Défali.
Fondée au XVIe siècle par Sidi Mohamed Ben Aïssa, la confrérie religieuse d’Aissaoua se rattache au soufisme. Son centre spirituel (zaouia) principal se trouve à Mekhnès où son fondateur est enterré. Sidi Mohamed Ben Aïssa serait né en l'année 872 de l'hégire c'est à dire en 1465-1466 de notre comput.
Le déroulement d'une hadhra (séance - réunion) comprend au moins deux temps :
. Le hizeb (pl.azhab) qui est la récitation des louanges, prières et litanies (dhikr ou dzikr). Son orchestre est disposé en demi-cercle. Il y a plusieurs bendaïr (bendir), grands tambourins ronds à une peau, une ou deux gueçbas, longues flûtes de roseau, parfois un def, petit tambourin rectangulaire couvert de peau de tous les côtés.....deux chœurs qui se font face et répètent en général les mêmes versets. Le texte est formé de versets coraniques, de prières et d'invocations, répétées souvent plusieurs fois, qui culminent en une grande litanie fortement assonancée et rythmée
. L'ijdeb ou danse extatique. En réalité ces deux temps sont séparés par une pause avec des offrandes, des enchères. C'est pendant ces danses et la transe qu'ont lieu les manifestations spectaculaires avec les sabres, les charbons ardents, les chèches...Il faut souligner le fait que l'exubérance et le "désordre" manifestes recouvrent en réalité des conduites qui sont extrêmement codifiées et dont le contrôle est assuré par le cheikh.La hadhra peut varier dans les détails et en importance selon par exemple qu'il s'agit d'un moussem qui est la fête patronale d'une confrérie ou d'une lemma (assemblée - groupe) donné par des particuliers et auquel assistent les Aissaouas.
- Les Gnaoua :
Les Gnaoua ou Gnawa sont, en partie, des descendants d'anciens esclaves issus de populations d'origines d'Afrique Noire (Sénégal, Soudan, Ghana...); Il furent amenés par les anciennes dynasties qui ont traversé l'histoire du Maroc, en commençant par l'empire Almohade pour les travaux et les bâtiments des palais et le renforcement des armées. La constitution en confréries des gnaouas à travers le Maroc s'articule autour de maîtres musiciens (les mâallems), des joueurs d'instrument (quasi exclusivement les qraqech (ou qrâqeb) – sorte de crotales – et le gambri), des voyantes (chouaafa), des médiums et des simples adeptes. Ils pratiquent ensemble un rite de possession syncrétique (appelé Lila) et où se mêlent à la fois des apports africains et arabo-berbères pendant lequel des adeptes s'adonnent à la pratique des danses de possession et à la Transe. Le festival d'Essaouira au Maroc est un haut lieu de rassemblement annuel de ces confréries ou écoles.
- Les Hmatcha :
Appartenant au soufisme, la confrérie des Hmatcha a été fondée au XVII ème siècle par Sidi Ali Ben Hamdouch. Les Hmadcha de Safi et El Jadida sont parmi les plus actifs.Les adeptes de cette confrérie pratiquent l'ascèse individuelle et animent un rituel collectif, comportant plusieurs phases pendant lequel se succèdent des invocations d'Allah, du prophète Sidna Mohammed, des poèmes chantés et des litanies. La dernière phase du rituel aboutit à des danses et des transes extatiquesLes Hmadcha utilisent un grand et un petit tambourin à gobelet fuselé (Harraz, Taârija), un tambour à double membrane (T'bal) auxquels s'ajoutent un hautbois (Ghaïta) et une flûte (Layra).
Les instuments de musique de cette région :
- La Kamanja : c’est un violon avec archet et une caisse de résonance aplatie en forme de huit. Utilisé dans tous les genres musicaux.
- La Nira : Flûte à anche en roseau comportant six à huit trous. Utilisée principalement dans les fêtes et par les bergers.
- Le Bendir : Instrument à percussion, formé d’une bande mince de bois sur laquelle est tendue d’un côté une peau de chèvre. Une variante comporte des ouvertures sur le côté logeant des rondelles en cuivre.
- Les tebilats : tambourin composé de deux éléments jumelés, fixés par des lacets en cuir et comportant deux ouvertures couvertes de peau de mouton parcheminée.
- La taârija et la darbuqqa, Instrument de percussion constitué d’une poterie, comportant une ouverture couverte de peau de mouton parcheminée.
- Le guenbri : sorte de guitare en bois de forme semi-conique ou ronde recouverte d’une peau de mouton feutrée. Emploie deux ou trois cordes. Nombreuses variantes.
- Le rebab : constitué de bois, sa forme est celle d’un corps de fève présentant une surface plane en bois avec des rosaces ajourées, couverte en partie par une peau de chèvre
- L'aoud est utilisé traditionnellement dans la musique andalouse. Il est constitué d’une caisse de résonance concave qui comporte une surface plane décorée de motifs floraux et géométriques ajourés, sur laquelle sont tendues six cordes.
- El Ghayta :
Instrument connu pour son son aigu et fort. Cet instrument est accompagné par des tambourins ( Alloun, Tallount) marquant très fort le rythme et la mesure. Il est très utilisé à Ain Défali.
- Ahidous :
Il semble que cette danse avait été créée pour permettre de mieux apprécier la beauté des poèmes d’une part et celle des danses d’autre part. « Alloun », ou le tambourin est l’unique instrument utilisé dans cette danse que pratiquent, ensemble, hommes et femmes alignés épaule contre épaule.
- Ahouach
Ahidous a subi l’influence de la danse « Ahouach » à laquelle elle a emprunté un instrument « Annakous » (la cloche) qu’elle a ensuite remplacé par de grands ciseaux. L’influence a aussi affecté le rythme devenu plus rapide et plus léger. Son rythme et sa réglementation ont été affectés à tel point que les femmes n’y participent plus.
- Chioukh, Chikhat , Al Aïta
C’est aussi de la danse Ahidous que découle l’art des Chioukh et des Chikhat et celui d’Al Aïta en général.
Les traditions.
Accepter plusieurs verres de thé même si vous n'avez pas soif. Pour engager le conversation avec un inconnu, commencez par un "Salam" avec un léger hochement de la tête (Salam = paix, c'est un engagement de ne pas nuire). Au cours d'un repas à Ain Défali, ne pas oublier de manger avec la main droite, la gauche étant réservée à la toilette. Pendant le mois du ramadan (Mois Sacré), les musulmans jeûnent pendant le jour. Les non-musulmans ne sont pas concernés, mais il est de bon ton de ne pas manger, boire, fumer ou mâcher du chewing-gum dans la rue.
De quelle région du Maroc, fait-elle partie ?
1 - Oued Eddahab-Lagouira
2 - Laâyoune-Boujdour-Sakia El Hamra
3 - Guelmim (Es Smara)
4 - Souss-Massa-Draâ
5 - Gharb-Chrarda-Béni Hssen : Cette région (en arabe : الغرب شراردة بني حسين) est l'une des seize régions du Maroc. Elle est située au Nord- Ouest du pays. Sa superficie est de 8 805 km² pour une population de 1 859 540 [] habitants. Son chef-lieu est la ville de Kénitra. La région est composée des provinces suivantes :
· La province de Kénitra
· La province de Sidi Kacem - Tél. : 037 59 21 70 / 59 29 70/59 29 21
fax.:037 59 27 59
Ces deux provinces regroupent à 61 communes rurales et 12 communes urbaines.
La région couvre une superficie totale de 8 805 km² répartis ainsi entre les deux provinces :
- 4 745 km² pour la province de Kénitra
- 4 060 km² pour la province de Sidi Kacem
La région atteint une superficie égale à 1,2 % celle du Maroc
6 - Chaouia-Ourdigha
7 - Marrakech-Tensift-El Haouz
8 - Oriental
9 - Casablanca
10 - Rabat-Salé-Zemmour-Zaër
11 - Doukkala-Abda
12 - Tadla-Azilal
13 - Meknès-Tafilalt
14 - Fès-Boulmane
15 - Taza-Al Hoceima-Taounate
16 - Tanger-Tétouan
Depuis la réforme de 1997 portant décentralisation de l'administration marocaine, le Maroc est subdivisé en trois niveaux :
Les 16 régions économiques, créées par la loi de 1997, ayant chacune à sa tête un Wali (gouverneur de région), ainsi qu'un Conseil régional, représentatif des « forces vives » de la région. Ces régions ont le statut de collectivité locale.
Ces régions rassemblent les 45 provinces et 26 préfectures, équivalant urbain des premières, qui constituent le deuxième maillon de l'organisation locale du pays et sont dirigées par un gouverneur.
Enfin, le pays est aussi divisé en 1547 communes, dont 249 urbaines et 1298 rurales.
Distance qui sépare Ain Défali des villes avoisinantes.
- 15 km de Jorf El Melha
- 42 km de Mechra Bel Ksiri
- 56 km de Souk El arba du gharb
- 30 km d'Ouezzane : Cette ville située sur les pentes du Jbel Bou-Hellal, près des montagnes du Rif, à environ 100 km de la mer Méditerranée et de l'océan atlantique. Ouezzane est connue pour être une ville sainte à double titre, ville de convivialité entre religions où les communautés musulmanes et juives ont longtemps cohabité. Elle a en effet accueilli par le passé Chérif Moulay Abdallah Ben Brahim, descendant de Idriss II (membre de la dynastie arabe des Idrissides qui régna sur le Maroc entre 789 et 974) et Rabbi Amrane Diourane, un rabbin juif qui faisait des miracles. Moulay Abdallah créa en 1727 à Ouezzane une zaouïa, c'est-à-dire un centre religieux et savant. Berceau de la confrérie religieuse des Taïbia, cette zaouïa devint au cours des XVIIIème et XIXème siècle un centre politique important. La légende dit que les personnes qui y trouvaient refuge voyaient leurs voeux s'exaucer. Aujourd'hui, Ouezzane attire chaque année des pèlerins venus de tout le Maroc. Si la ville est doublement sainte, c'est que les musulmans viennent y visiter un haut lieu de la civilisation arabo-musulmane tandis que les Juifs se rendent sur le tombeau du rabbin Amrane, situé à 9 km du centre de la ville. La zaouïa possédait par le passé une prestigieuse bibliothèque dont les ouvrages traitaient de thèmes aussi divers que la spiritualité, l'astronomie, les sciences humaines, le soufisme ou la philosophie. Outre son influence Politique, la zaouïa jouissait d'un rayonnement spirituel dans toute la région. Aujourd'hui, on peut encore visiter la zaouïa, dominée par un minaret de forme octogonal ainsi que la mosquée Moulay Abdallah Chérif qui constitue le lieu de rendez-vous des pèlerins musulmans. Une balade dans la vieille ville de Ouezzane donnera par ailleurs l'occasion aux visiteurs de découvrir le souk couvert où sont présentés des produits locaux tels de l'huile d'olive, des figues ainsi que des vêtements en laine tissée.
- 100 km de Fès,
- 100 km de Meknes,
- 70 km de Moulay Idriss Zerhoun (Vestiges de l'antique cité romaine de Volubilis, thermes, mosaïques, arc de triomphe datant du 3e siècle AV JC avec 240 années d’administration romaine, qui marquent l’âge d’or de Volubilis).
- 60 km de Sidi Kacem.
Sa Majesté Mohammed VI, L'Actuel Roi du Maroc.
Le prince Moulay Hassan né le 8 mai 2003 à Rabat est le fils aîné de Mohammed VI, actuel roi du Maroc, et de la princesse Lalla Salma. Selon la constitution marocaine, Moulay Hassan est le prince héritier du royaume du Maroc. Il est le premier en ligne de succession dans la dynastie alaouite, lignée descendante directe en ligne féminine du Prophète Mahomet, et qui gouverne le Maroc depuis près de trois siècles et demi. Le prince Moulay Hassan a une petite sœur, la princesse Lalla Khadija, née le 28 février 2007.
Al Mamlakah Al Maghribiyah-Le Royaume du Maroc
Fondée il y a 12 siècles, la Royauté constitue le garant de l'unité du pays et de la liberté des citoyens. Le Maroc a conservé son attachement à ses fondements traditionnels tout en s'engageant dans la modernité. Il est membre de l'Union du Maghreb arabe, de la Ligue arabe et de l'Organisation de la conférence islamique.
Ses coordonnées géographiques.
Latitude : 34°35'00 nord
Longitude : - 5°33'00 ouest
Altitude (mètres) : 95 m
Altitude (feet) : 314
En degré décimal : WGS84
Latitude : 34.583
Longitude : -5.550
Le mur de Berlin.
L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l'Est qui organisent de grandes manifestations, provoquent le 9 novembre 1989 la chute du « mur de la honte », suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande. Presque totalement détruit, le Mur laisse cependant dans l'organisation urbaine de la capitale allemande des cicatrices qui ne sont toujours pas effacées aujourd'hui. Le mur de Berlin, symbole du clivage idéologique et politique de la guerre froide, a inspiré de nombreux livres et films. Aujourd'hui, plusieurs musées lui sont consacrés.
L'Hymne National de notre pays.
Paroles :
manbita al ahrar;
machriqa al anwar;
mountada sou'dadi wa himahh;
doumta mountadah wa himah;
ichta fi l awtan;
liloula ounwan;
mil'a koulli janane;
dikra koulli lissane;
birrouhi, biljassadi;
habba fatak;
labba nidak;
fi fami wa fi dami hawaka thara nour wa nar;
ikhwati ahya;
liloula sa'aya;
nouch'hidi dounya;
anna houna nahya;
bichia'ar;
Allah, Alwatan, AlMalik;
Berceau des hommes libres,
Source des lumières.
Terre de souveraineté et terre de paix,
Puissent souveraineté et paix y être à jamais réunis.
Tu as vécu parmi des nations
Tel un titre sublime,
Emplissant chaque cœur,
Déclamé par chaque langue.
Par son âme, par son corps,
Ton champion s'est levé
Et a répondu à ton appel.
Et dans ma bouche et dans mon sang ton amour a secoué lumière et braises,
Mes frères, allons
Vers ce qu'il y a de plus haut.
Nous proclamerons au monde
Que c'est ici que nous vivons
Avec pour étendard
Dieu, la Patrie, et le Roi
Recyclez vos coquilles d’œufs, bon pour le jardin et la santé .
Gharb
Le plus long match de boxe
Andy Bowen (à gauche) & Jack Burke (à droite) |
15 octobre 1582 : Naissance du calendrier grégorien
Le lendemain du jeudi 4 octobre 1582, les Romains se réveillèrent le vendredi... 15 octobre 1582. Cette nuit du 4 au 15 octobre 1582 avait été choisie par le pape Grégoire XIII pour l'entrée en application de sa réforme du calendrier julien, ainsi nommé d'après Jules César.
À Rome, l'année débutait en mars et comportait 355 jours et dix mois.
Les Romains payaient leurs dettes au début de chaque mois, ces jours étant appelés calendes (ou calendae). D'où le mot «calendrier» qui désigne le registre où sont inscrits les comptes puis la mesure du temps elle-même.
En 46 avant JC, Jules César donne à l'année 365 jours et 12 mois. Il la fait débuter le 1er janvier et prévoit des années bissextiles. Ce nouveau calendrier est dit julien en référence à son promoteur. L'Église, au Moyen Âge, lui demeure fidèle tout en faisant remonter le décompte des années à la naissance du Christ (ce décompte s'est aujourd'hui imposé à toute la planète).
Mais sous la Renaissance, les astronomes s'aperçoivent que l'année calendaire dépasse l'année solaire de... 11 minutes 14 secondes. Le cumul de cette avance quinze siècles après la réforme julienne se monte à une dizaine de jours avec pour conséquence de plus en plus de difficultés à fixer la date de Pâques !
Grégoire XIII décide donc d'attribuer désormais 365 jours, et non 366, à trois sur quatre des années de passage d'un siècle à l'autre. Les années en 00 ne sont pas bissextiles sauf les divisibles par 400 : 1600, 2000, 2400...
Cette modeste réforme ramène à 25,9 secondes l'écart avec l'année solaire (une broutille).
Par ailleurs, le pape décide de rattraper les dix jours de retard du calendrier julien entre le 4 et le 15 octobre 1582.
La réforme va s'étendre peu à peu à l'ensemble des pays. Le calendrier grégorien est aujourd'hui d'application universelle ou à peu près.
Photos rares de PETIT JEAN (Sidi Kacem).
Une rue de Petit Jean
Chef-lieu de la "province de Sidi Kacem" (région de Gharb-Chrarda-Beni Hssen) ou plus communément des "Chrardas", la ville est un centre de collecte des céréales produites dans les collines situées à l'Est et au Nord. Les grossistes en blé portent localement le nom de "céréalistes". La ville est aussi un marché actif dans le coin Sud-Est de la riche plaine du Gharb qui produit des agrumes, de l'huile d'olive, du coton, des betteraves, du riz. La ville a deux souks importants, celui du jeudi, en ville, ou on trouve tous les paysans de la region, et celui du dimanche ou on trouve surtout les citoyens de la ville.
La ville a été fondée en deux étapes qui lui ont valu deux pôles distincts et toujours séparés : la Zaouia et le centre ville avec le souk al-Khmis.
La zaouia de Sidi Kacem==
Elle a donné son nom à la ville peu après l'indépendance (1956). C'est le tombeau d'un sage musulman qui a mérité d'être appelé Sidi ("saint") et le siège de la confrérie religieuse (Zaouia) qui s'occupe de l'entretenir et d'accueillir les pèlerins. La fondation pieuse occupe les dernières hauteurs qui dominent le Rdom sur la rive gauche. Sidi Qāsim bou 'Asriya ou encore Sidi Qāsim Moulāl-Héri attire à lui les pèlerins depuis quatre siècles. Son tombeau est devenu le centre religieux de la [[tribu guich]] des Chérardas arrivée bien plus tard dans la région. Autour de la Zaouia et de part et d'autre de la rivière, se sont installés des quartiers d'ouvriers agricoles qui travaillent à la journée dans les grandes exploitations de la plaine.
La zaouia de Sidi Kacem==
Elle a donné son nom à la ville peu après l'indépendance (1956). C'est le tombeau d'un sage musulman qui a mérité d'être appelé Sidi ("saint") et le siège de la confrérie religieuse (Zaouia) qui s'occupe de l'entretenir et d'accueillir les pèlerins. La fondation pieuse occupe les dernières hauteurs qui dominent le Rdom sur la rive gauche. Sidi Qāsim bou 'Asriya ou encore Sidi Qāsim Moulāl-Héri attire à lui les pèlerins depuis quatre siècles. Son tombeau est devenu le centre religieux de la [[tribu guich]] des Chérardas arrivée bien plus tard dans la région. Autour de la Zaouia et de part et d'autre de la rivière, se sont installés des quartiers d'ouvriers agricoles qui travaillent à la journée dans les grandes exploitations de la plaine.
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Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
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Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était be...
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Le « zouhri » est un enfant qui n’a pas encore atteint l’âge de la puberté et qui possède certaines caractéristiques physiques particulières...