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Bonne et heureuse année 2013 et meilleurs voeux à tous .

 

Que cette nouvelle année 2013 soit pleine de santé ,
de sérénité, de paix, de grandes joies et de petits plaisirs ...
Et que votre bonheur soit durable.
Bonne année 2013

  
Bonne année 2013 - Sousoukitchen

Meilleurs Voeux pour un Noël plein de joie et de bonheur.

Pour préparer un arbre de Noël, il fautrois choses, outre les ornements et l’arbre, la foi dans les beaux jours à venir.
 
 



Noël est là, Ce joyeux Noël, des cadeaux plein les bras, Qui réchauffe nos coeurs et apporte la joie, Jour des plus beaux souvenirs, Plus beau jour de l’année.
 
 
 

La tradition de Soltan Tolba ou Roi des étudiants est, hélas !, tombée en désuétude.

 
 
La fête de Soltan Tolba fut initiée par le premier Sultan Alaouite Moulay Rachid (1664-1672)
 

qui fréquentait lui-même les madrasas avant sa proclamation. Il en résultera une tradition séculaire qui marquera notamment les villes de Fès et de Marrakech. Le premier acte de la parodie, consiste à élire un « sultan » parmi les étudiants, le second consiste à recevoir de la part du sultan régnant les insignes de souveraineté. Parmi les attributs du « sultan » des tolbas, celui d‘exiger des redevances, de sceller de son cachet des dahirs, édits fictifs, et d´expédier aux dignitaires de l´État et aux notables des missives aux sujets saugrenus. Cette liberté accordée pour une semaine aux étudiants sert en quelque sorte les intérêts du sultan régnant en leur permettant d´étaler publiquement les malversations des agents du pouvoir.
C’est une fête pittoresque, une fête annuelle de vie au grand air galvanisée durant toute une semaine par les étudiants « Tolbas ». Au début de chaque printemps, un cérémonial dont l’origine remonte au fondateur de la Dynastie Alaouite, Moulay Rachid, patron des étudiants, bat son plein. Les étudiants étant tous méritants, la couronne est offerte aux enchères publiques. Celui qui la remporte est déclaré Soltan Tolba. Il aura la gloire de régner une semaine sur les Tolbas et le privilège de rapprocher le Souverain auquel il soumettra une requête qui lui sera gracieusement accordée. Une fois proclamé, Soltan Tolba organise son makhzen (ses vizirs, son chambellan, son maître des cérémonies, son bouffon et son mohtacib). Muni de tous les insignes de la royauté fourni par le Souverain, à cheval, en kaftan djellaba et babouches montantes, entouré de ses vizirs, de ses Mokhaznis porteurs de parasol et de lances, escorté de Néphars et de tambours qui le suivaient en dansant, attira une véritable cohue de curieux.

Le cortège défila dans les rues commerçantes permettant au bouffon,  aux fins de couvrir les dépenses de la fête et d’en assurer le faste , de collecter chemin faisant, taxes et amendes résultant du contrôle des balances, des poids et de la qualité des denrées, pratiqué auprès des faux commerçants campé par le restant de la troupe glissée parmi les marchands. Dans un joyeux et assourdissant tapage, la procession regagna ensuite le campement des Tolbas . Des tentes sont dressées : la « royale » pour Soltan Tolba, celle du pacha de la ville, celles des vizirs et celles de riches bourgeois  (touristes et Touaregs) venus passer quelques jours de plaisirs champêtres et assister aux diverses séances culturelles et à la joute de discours littéraires et de déclamations de poèmes entre Tolbas. En attendant la tombée de la nuit,  supposée être la septième terminant la fête et filmer la séquence de fin du règne du Soltan Tolba devant fuir avant la levée du huitième jour, sous peine d’être roué de coups et jeté dans l’Oued par ses sujets de la veille.
Il était de tradition que l’authentique Sultan leur fasse porter à cette occasion quelques bons plats de la cuisine royale. On raconte que, suite à de fâcheux débordements et après que dans les années 1970 l'on ait remplacé ces mets traditionnels par des forces auxilliaires munies de bons gourdins, les étudiants auraient renoncé à cette tradition séculaire...

Connaissez-vous l’origine du mot « douar » ?

Dans les documents du XX ème siècle, le mot douar a fait son apparition dans le répertoire varié des appellations qu’accordaient les bédouins à leur groupement d'habitations, fixe ou mobile, temporaire ou permanent, réunissant des individus liés par une parenté fondée sur une ascendance commune en ligne paternelle. Par extension, c'est une « division administrative de base, (...) fraction territoriale de la commune. Historiquement, le nom du douar tant en berbère qu’en arabe est un type de campement nomade, de concentration de tentes qui, disposées en cercle, permettait de remiser les troupeaux dans l'espace laissé libre au centre de celui-ci. La disposition des tentes appelle ainsi la forme circulaire, étymologiquement à l’origine du mot « douar » (faire tourner, circuler, etc…).
                                                                                                                                                  
 
On pense que le mot douar est d’origine urbaine et tient d’un vocabulaire datant probablement de l’arrivée des Ma’qil. Mais le terme allait déborder ce contexte géographique et on lira, par exemple « douar ouled Ktir » pour fixer l’origine d’un acheteur, « douar lagdadra » pour une transaction récente. Le mot « douar » faisait juste allusion à l’agglomération de tentes ou de « Noualas ». Actuellement, le douar pourrait redevenir une unité administrative et sociale du paysage rural marocain, composé de groupes revendiquant un ancêtre commun.
La demande accrue de main-d’œuvre ou la scolarisation des enfants ont abouti à la constitution de groupements d’habitats en bordure du périmètre municipal. Ces agglomérations ont pris le nom de « douar » également.
 
 
Le « douar » ou « dweiwer » (diminutif de douar) témoigne de la sédentarisation massive des groupements nomades et des modalités de construction et d’habitats très aléatoires et indigents, auxquels ils ont donné naissance. C’est bien le cas du douar Ain Défali qui comportent des centaines de foyers vivant dans des conditions inhumaines et lamentables.

Des terres domaniales usurpées par des particuliers à la commune d’Ain Défali.


Dans la commune d’Ain Défali, province de Sidi Kacem, la commission chargée d’étudier la question des terres domaniales n’a jamais inventorié les multiples cas de terres occupées et exploitées illégalement par des particuliers, à savoir :

1.       Ceux qui occupent et exploitent illégalement des terres domaniales après avoir déplacé les bornes pour augmenter leurs superficies,  ce sont les cas :

·         de l’ancienne gare ferroviaire d’Ain Défali exploitée par les héritiers de Fegrouch,

·         de l’ancien douar situé au nord-ouest de cette gare sur le monticule d’en face, exploité par les héritiers de Fegrouch,

2.       ceux qui occupent et exploitent dans des conditions floues des terres domaniales de l’état depuis des décennies :

·         l’exploitation des Béni Sennanas par un ex-commissaire,

·         la ferme de l’ex-colon « Boune » par un ancien retraité des Forces Armées Royales,

·         de l’exploitation de Jennaoua par un ex-cadi,

·         de la maison cantonnière des travaux publics par un ex-agent des TP

Ces particuliers prétendent en être les possesseurs. Le service des domaines publics de Sidi Kacem lui incombe d’étudier sérieusement la question de ces exploitations usurpées pour les récupérer.

  

Bonne Année Hijri 1434, كل عام وانتم بخير


Aujourd'hui, jeudi 15 novembre, c’est le Nouvel An 1434, et je saisis cette occasion pour souhaiter à tous mes amis, un nouvel an, plein de paix, de joie et de bonheur.

 
Le nouvel an musulman correspondant au premier jour du mois de Moharram (1er mois du calendrier musulman) marque un évènement important de l’histoire musulmane l’Hégire ( émigration-exil ) .
Il s’agit de la commémoration du départ du prophète Mohamed, que la Paix et la Grâce Divine soient sur Lui, émigra le 9 septembre de l’année 622, de la Mecque vers Médine.

 
Le mois sacré de Moharram est le premier mois lunaire du calendrier hégirien. Il est un des quatre mois sacrés auxquels le Coran fait référence, à savoir Rajab, Dhoul-qa’da, Dhoul-hijja, et Moharram. Durant ce mois, il est recommandé de multiplier les bonnes œuvres et de jeûner le dixième jour, appelé Achoura. Bien avant l’avènement de l’Islam, le mois de Moharram était un mois sacré pour les arabes.
Dans un hadith rapporté par l’Imam Mouslim, d’après Abou Horaira, le Prophète a dit : « Le meilleur jeûne (en matière de rétribution) après celui du Ramadhan est celui accompli durant le mois de Moharram ; la meilleure prière après les prières obligatoires est celle accomplie au milieu de la nuit ».
 Le mois de Moharram est distingué par son dixième jour, nommé Achoura. C’est d’ailleurs une des journées mémorables de Dieu durant laquelle Il a délivré les Enfants d’Israël du Pharaon et des siens, qui les soumettaient à l’esclavage et aux pires supplices. C’est aussi le jour où Dieu a fendu la mer pour leur frayer un chemin sûr et a ensuite englouti Pharaon et son armée.
L’Imam Malek dans son Muwatta a rapporté qu’Aicha, que Dieu l’agrée, a dit : «Achoura était un jour que jeûnait les Quraychites dans l’ante islam. Quand le Prophète arriva à Médine, il le jeûna et ordonna qu’on le jeûne… ».
L’Imam Moslim a rapporté dans son recueil qu’Ibn Abbas a dit : « quand le Prophète, –que la Grâce et la Paix Divines soient sur Lui, – a jeûné le jour de ’Achoura et a ordonné qu’on le jeûne, les compagnons ont dit : « O Messager d’Allah, c’est un jour que vénère les Juifs et les Chrétiens » le Prophète a répondu : « l’année prochaine, si Dieu le veut, nous jeûnerons le neuvième jour ». Ibn Abbas a dit :« le Prophète mourut avant ».

Disparition soudaine de la « Mini-tour Eiffel de Fès ».

La ville de Fès s’est réveillée ce jour sans « tour Eiffel » qui a été majestueusement placée un mois auparavent sur le grand rond point qui mêne à Marjane et à la cité Ben Souda. Tout le monde se pose la question : où est passée cette tour Fassie et pourquoi elle a été démontée juste quelques semaines après sa construction ?


La corruption continue de proliférer au Maroc.



Elle touche tous les domaines et surtout les administrations de l’Intérieur, de la Justice et de la Police. Les gens ont recours à la corruption pour bénéficier des prestations publiques ou simplifier les complications et les procédures administratives.



D’après le dernier rapport de Transparency International, le Maroc perdrait l’équivalent de 1,5 milliard de dollars par an à cause de la corruption, fléau qui persiste grâce à l’existence de certaines poches de résistance opposées au changement.



L’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC) dénonce une politique gouvernementale dépourvue d’une dimension stratégique et d’un engagement effectif anti-corruption.

Origine du nom de « douar Ain Défali ».


Selon la légende, l’origine du nom d'Ain Défali, remonte à la découverte depuis la nuit des temps de l'apparition d'une eau pure limpide et naturelle d'une source d'eau à proximité de lauriers roses.
Avec tout le charme de son passé, Ain Défali permet aux visiteurs de prendre le temps et de goûter au plaisir de l’émergence de cette eau souterraine douce, naturelle, pure, saine et potable, en ce point de la surface du sol où elle est actuellement et emmagasinée dans de grands réservoirs, à quatre kilomètres à vol d'oiseaux, en aval de cette gigantesque nappe phréatique découverte ces dernières années à Laâmirat, Sidi M'hamed Laoula et Béni Sennana.
D'après l'histoire parlée de ce village existant seulement depuis 1947 et dont le nom est lié à l'appellation de cette source, les premiers habitants
étaient :
  • Hamri Hamida,
  • Allal Ben Aicha,
  • Sellam El Garni, 
  • et Abdeslam Ben Mohamed.
Relayés par la suite par :
  • Khammar Bel Kassem
  • Bouchta Ben Kaddour,
  • Bel M’kaddem Mohamed,
  • Lahcen et Hmidou Bouâlam,
  • Karbach Mohamed,
  • Bouchta Berhou,
  • Hasna Hoummada et son fils Cherradi Mohamed,
  • Chrif Ould Al Haylam,
  • Abdelkader ould Jbilou,
  • Oummi Jelloula,
  • Aicha Mouhnikatte,
  • Karnoussia Fatima et Ahmed El Attar,
  • Somati Mohamed,
  • Baladi Abderrahmane,
  • Bouchta Harroufa,
  • Laoula Mohamed,
  • Ahmed Ammi,
  • Abdelkader Jmel,
  • Chérif Ben Yachchou,
  • Khammar Jebli,
  • Larafi Mohamed et son frêre Gueddar,
  • Baâyya M’hammed,
  • Amimi Mohamed,
  • El Himdi Mohamed,
  • Lakhal Mohamed,
  • Bouchta Ould Fatna Ahmed,
  • Koâbaizi Bouchta,
  • Bouchta Bel Hadi, garde forestier, 
  • Abdeslam Al-Ghayyate,
  • Sbai Mohamed,
  • M’hamed Laymani.
Ce sont les premiers et vrais habitants du douar 
Ain Défali. 

   
      Actuellement, le douar d’Ain Défali est devenu un grand bidonville, un ensemble d’habitats précaires, des « maisons en bidons », des habitats inférieurs aux normes où la misère est concentrée.                   


La qualité de l'habitat y est singulièrement pauvre, et certaines habitations sont constituées de matériaux de récupération (cartons, plastiques, tôles, etc…). Généralement bâtis sur des terrains où leur présence est illégale ou seulement tolérée, les habitants sont soit des squatteurs, soit louent leur propriété à ceux qui les ont précédés, parfois à des tarifs exorbitants.
 
 
La pauvreté, la promiscuité, le manque d'hygiène et la présence de bouillons de culture réunissent les conditions de développement de foyers infectieux, pouvant être source de pandémies.
En 2012, date d’échéance du programme “Villes sans bidonvilles”, le Maroc devrait avoir fait disparaitre les 1000 bidonvilles identifiés en 2004, date du lancement du programme. Mais, ce n’est pas le cas pour ce grand bidonville d’Ain Défali ! Il continuera d’exister au delà de 2013 et vous le verrez bien !

Une mini Tour Eiffel à Fès.

 
Conçue pour célébrer l'amitié franco-marocaine, la Tour « Fassie » d’une hauteur de 20 mètres (contre 324 mètres pour la mythique Tour Eiffel Parisienne) est  érigée au milieu d’un grand rond-point (Marjane -Ben Souda). Inaccessible aux piétons, elle risque de distraire les chauffards et accroître ainsi le risque d'accidents.
Le coût du projet de cette dame de fer s'élève à 100 mille dirhams, soit environ 10 mille euros.
 

L'Aïd-el-Kébir, l'une des plus importantes fêtes de l'islam.

 
  L'Aïd-el-Kébir, ou Aïd-el-Adha (fête du sacrifice), célébrée vendredi 26 décembre 2012 au Maroc, l'une des fêtes les plus importantes de l'islam, symbolise la soumission totale d'Abraham et, par extension, de tout croyant à Dieu.
Elle a lieu le 10e jour du mois de Dhou al Hijja, dernier mois du calendrier musulman, et marque la fin du pèlerinage à La Mecque.
Les musulmans doivent égorger un mouton pour commémorer le sacrifice d'Abraham (Ibrahim en arabe), dans les années 2000 avant JC.

                             

 Selon le Coran, Abraham, envoyé de Dieu, obéissant à un commandement divin, s'apprêtait à sacrifier son fils unique Ismaël, né de son épouse Agar (Hajar en arabe), ex-servante de sa première épouse Sarah, lorsque l'archange Gabriel remplaça Ismaël par un mouton. L'événement se situerait à proximité de La Mecque et, par sa soumission à Dieu, Abraham est considéré comme le premier des musulmans.
La bête à sacrifier ne doit pas être tuée, ni même assommée, avant la saignée, qui doit se faire avec un couteau parfaitement effilé et sans exercer la moindre pression, en coupant la trachée-artère et l'oesophage.
 
 
Selon la loi islamique, c'est au chef de famille, qui peut déléguer à un sacrificateur reconnu, d'accomplir la tâche sacrificielle, le mouton couché sur le flanc gauche, la tête tournée vers La Mecque. Il ne peut opérer qu'après la prière de l'Aïd, qui se déroule environ vingt minutes après le lever du soleil, suivie d'un prêche de l'imam.
Le mouton doit ensuite être partagé en trois parts égales: une pour la famille, une pour les voisins et amis, la dernière, composée des meilleurs morceaux, étant réservée aux pauvres.

Je saisis cette occasion pour présenter à tous mes ami(e)s mes vœux les plus chaleureux de bonne et heureuse fête de l’Aid Al Adha.
 
 

LES AURORES POLAIRES.

Les aurores polaires constituent probablement l'un des plus beaux et plus grands spectacles de la nature et se manifestent généralement au cours de la nuit. Ils sont observables dans les régions avoisinant les cercles polaires nord et sud et plus rarement dans les régions tempérées.
C'est le soleil qui est responsable de ces aurores polaires. La surface turbulente du soleil rejette dans l'espace des atomes et des particules subatomiques (protons, électrons). Lors de violentes tempêtes solaires, une grande quantité d'électrons et de protons venant du soleil arrivent dans l'atmosphère terrestre et excitent les atomes d'oxygène et d'azote, lesquels deviennent subitement lumineux et produisent les magnifiques voiles (rubans ou rideaux) de lumière colorée que sont les aurores polaires.
 
 
On les nomme polaires parce qu'une fois arrivées dans l'atmosphère terrestre, les particules sont prises au piège par le champ magnétique qui les force à se diriger vers les pôles magnétiques nord (aurore boréale) et sud (aurore australe).
 
 
Elles se forment dans l’ionosphère terrestre, couche supérieure de l’atmosphère. Elles ont lieu toute la journée, mais à cause de la luminosité du soleil, on ne les voit pas. On peut les observer seulement la nuit, mais aussi au crépuscule et à l’aube.
Leur largeur est variable. Cependant, il arrive qu’elles fassent 4000 km de large, voire même la circonférence de la Terre par rapport au cercle polaire. Elles sont le plus souvent vertes et jaunes, plus rarement rouges et exceptionnellement bleues.
 
 
L'aurore a la forme d'une mince bande elliptique - l'ovale auroral - centrée sur les pôles nord et sud magnétiques, i.e. environ à 700 mètres des pôles géographiques. La grandeur de cette forme dépend de l'activité solaire: plus le Soleil est "silencieux" et le vent solaire calme, moins l'ovale est grand; contrairement, plus le vent solaire frappe le champ magnétique terrestre avec force et rafale, plus l'aurore devient large et s'étend.


Les aurores polaires sont donc des phénomènes liés à l’activité solaire et d’autres mécanismes comme le magnétisme terrestre. Les aurores, conséquences de l’interaction entre notre étoile en notre planète n’ont pas seulement des effets sur notre émerveillement. Elles sont liées à des phénomènes qui ont des conséquences sur les installations humaines comme des coupures de courant ou des coupures d’émissions de radio. Notons aussi que la Terre n’est pas la seule planète du système solaire à posséder des aurores. Certaines ont été observées par des sondes spatiales. Malgré notre connaissance sur les aurores, elles gardent encore un peu de mystère avec les sons auroraux que certains ont entendus lors d’une aurore.

La place Rouge de Moscou.

La Place Rouge marque le centre de Moscou.
Immense esplanade de 52 000 m² interdite aux voitures, la place Rouge s'étend près du mur est du Kremlin. La place principale de Moscou est déjà au XVe siècle le centre de la vie publique où sont organisées les cérémonies les plus solennelles. On y fait lecture des oukases (édits du tsar) et l'on y rend la justice. Au XVIIe siècle, elle est définitivement devenue la place Rouge (Krasnaïa), autrement dit la belle place ("rouge" et "beau" sont des mots presque identiques en russe), aujourd'hui encadrée par la basilique Saint-Basile-le-Bienheureux au sud, le grand magasin Goum à l'est, le musée Historique au nord et la muraille du Kremlin à l'ouest.
 
 
La basilique Saint-Basile,
 
 
édifiée au XVIe siècle sur l'ordre d'Ivan le Terrible, est sans conteste le monument le plus féerique de Moscou avec ses bulbes polychromes et ses dômes torsadés d'une exubérance digne d'un palais des Mille et Une Nuits. Les fresques intérieures offrent un spectacle tout aussi magique tandis que devant le monument, un bloc de vieilles pierres blanches, de forme circulaire, signale l'ancien lieu des supplices.
 
 
A l'ouest de Basile-le-Bienheureux,
 

on aperçoit la tour du Sauveur, la plus belle du Kremlin, d'où sortaient autrefois les processions religieuses qui se dirigeaient vers la place Rouge. Elle est ornée d'un magnifique carillon, d'une horloge massive et, bien sûr, surmontée d'une immense étoile rouge.



 
De l'autre côté de la place, à droite du musée Historique,
 
 
on remarque un autre monument, l'église de la vierge de Kazan, élevée en 1993 sur l'emplacement d'une ancienne église du XVIIe siècle démolie en 1936.
 
Adossé à la muraille du Kremlin,
 
le mausolée de Lénine, aux lignes austères et aux matériaux de marbre et de granit, tranche par sa sobriété.
 
Le Goum, ancien grand magasin d'Etat, occupe les parties supérieures des galeries marchandes, à l'est de la place.
 

Depuis sa privatisation en 1993, on y trouve désormais les boutiques les plus diverses proposant un grand choix de vêtements de mode, produits de beauté, articles de luxe et souvenirs.

Statue de la Liberté de New York : Histoire d'une icône franco-américaine

Exécutée à Paris par le sculpteur Bartholdi avec la collaboration

de Gustave Eiffel pour la charpente métallique, composée de 300 plaques de cuivre modelées et rivetées,
 
 
la statue de la Liberté (Statue of Liberty) est l'un des monuments les plus célèbres des États-Unis.
Elle est située à New York, sur l'île de Liberty Island.

 
Elle fut offerte par la France, en signe d'amitié
entre les deux nations, pour célébrer le centenaire de la déclaration d'indépendance américaine.
 
 
La statue fut inaugurée le 28 octobre 1886 en présence du Président des États-Unis, Grover Cleveland.
 
 
Elle est devenue l'un des symboles des États-Unis et représente de manière plus générale la liberté et l'émancipation vis-à-vis de l'oppression. Elle a accueilli depuis lors à l'entrée du port de New York des millions d'immigrants venus peupler les États-Unis.
 
Voici quelques informations sur les dimensions et les proportions de la Statue :

Poids : 200 tonnes
Hauteur de la base jusqu'à la torche : 46.50m
Hauteur du piédestal à la torche : 92.99m
Hauteur du talon à la tête : 33.86m
Longueur de la main : 5m
Longueur de l'index : 2.44m
Distance du menton au crâne : 5.26m
Epaisseur de la tête : 3.05m
Distance entre les deux yeux : 0.76m
Longueur du bras droit : 12.80m
Epaisseur du bras droit : 3.66m
Longueur des tablettes : 7.19m
Largeur des tablettes : 4.14m
Epaisseur des tablettes : 0.61m
Longueur du nez : 1.48m
 

A la base de la statue, gravé sur une plaque de bronze, est inscrit ce poème d'Emma Lazarus intitulé "The New Colossus" :
"Donne-moi tes pauvres, tes exténués
Qui en rangs pressés aspirent à vivre libres,
Le rebut de tes rivages surpeuplés,
Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête me les rapporte
De ma lumière, j'éclaire la porte d'or !"