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Une jeune étudiante française est tombée dans le coma pendant deux jours lors d'un bizutage en Belgique.

Elle a été forcée de boire plusieurs litres d'eau ce qui a entraîné un œdème cérébral.

Lutte contre le bizutage et la violences scolaire

 En général, les étudiants sont forcés de boire d'importantes quantités de bières, mais la jeune femme – ne buvant pas d'alcool – a été forcée d'ingurgiter de nombreux litres d'eau.


 Lorsqu'elle a émis le souhait de s'arrêter, les étudiants lui ont fait comprendre qu'elle devrait renoncer à poursuivre son bizutage et qu'elle serait de facto exclue.


La jeune femme s'est donc remise à voire avant de tomber dans le coma en raison d'un œdème cérébral, un gonflement du cerveau dû à l'absorption rapide de plusieurs litres d'eau. Hospitalisée, elle "est tirée d'affaire".
En France, la pratique du bizutage est interdite depuis 1998 et punit de six mois de prison et 7.500 euros d'amende.

Au Maroc, certaines institutions ont d’ailleurs la réputation d’organiser des bizutages corsés, surtout  dans les facultés de médecine, les écoles d’ingénieurs, les écoles d’agronomie, etc… 

 


Il est temps de briser le silence au sujet du bizutage et de le stopper  pour mieux protéger l'intégrité morale et physique de chaque lycéenne et lycéen marocain. Le bizutage, une épreuve "humiliante" et "traumatisante est dangereux et peut entraîner de lourdes conséquences.

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