L’unique mode de transport routier était le portage à dos de chameau, de mulet ou d’âne. A l’époque, le Maroc dispose de deux catégories de voies terrestres de communication :
- les chemins publics appelés triq-al-sultan « routes du sultan » qui sont des itinéraires fixes, entretenues régulièrement et sécurisés par le makhzen. L’exemple type était celui qui passait par Ain Défali pour aller de Fès à Tétouan ou de Meknes à Tétouan. N’Zalat Béni Ammar était en quelque sorte une station de repos.
- et les chemins secondaires appelés parfois triq-al-hammara « routes des muletiers, qui sont généralement peu fréquentés à cause de l’insécurité qui y règne, et les emprunter exige la présence d’une escorte « zetata ». Ce sont surtout les chemins qui reliaient les douars entre eux.
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
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